
Psycho boy VS badass girl
La bande annonce laissait présager un film assez glauque et malaisant, mais en fait pas tant que ça. Le postulat de départ est assez dur : on est au-delà du harcèlement scolaire : lâcheté institutionnalisée du corps enseignant, corruption et violence. Pourtant j’ai trouvé le film sympa à regarder grace aux deux acteurs principaux et au choix scenaristique : le gros mechant psychopathe contre la justicière badass. Et personnellement je trouve que cela fonctionne bien. Les scènes de combat sont crédibles et même si la fin est attendue, elle boucle la boucle. Pas de temps mort, pas d’ennui, beaucoup d’action et de très bons acteurs. Pour les amateurs du genre, je recommande.Cet avis était-il utile?

Bullet Train Explosion
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Encore une histoire de vengeance... de scénaristes face à l'IA
Attention chef-d’œuvre !Et vous n’en attendiez pas moins du roi du remake : le réalisateur Higuchi Shinji. Après Shin Godzilla, Shin Ultraman, et l’élevage de monstres, achetés sur eBay, capables de vaincre le COVID-19 (si, si), le réalisateur-poète s’attaque à massacrer une nouvelle licence culte japonaise. Arrivera-t-il à faire pire que les live-action de L’Attaque des Titans…
Cette fois, il transforme un classique du cinéma catastrophe japonais en un véritable nanar à budget exorbitant. D’accord, Shin Godzilla allait plus loin que le simple navet en dénonçant une société sclérosée par la politique — mais Hideaki Anno était aussi à la manœuvre. Dix ans plus tard, dans ce Bullet Train version 2025, il est difficile de refaire le coup du « tous pourris ». Et pourtant… le monde sera à nouveau sauvé par un homme, et le collectif des petites gens prêts à se sacrifier. Eh bien si, il l’a donc fait.
Et ce ne sont pas les seuls clichés des productions japonaises qui vont défiler devant vos yeux à la vitesse d’un Shinkansen Aomori-Tokyo. Dans ce remake du Bullet Train de 1975, la production ose tout, sans aucune honte. Et c’est bien cela qui fait de ce qui aurait dû être un nanar à effets spéciaux un nouveau chef-d’œuvre du « what the fuck ». Comme le disent certaines critiques dithyrambiques, malgré ses 2h15, on ne s’ennuie pas une seconde. Pas du tout pour son action débridée, ses FX maîtrisés, sa pseudo-dénonciation ou son suspense bancal comme j'ai pu lire parfois. Non. Comme dans le chef-d’œuvre dramatique qu’est la série Dai Byōin Senkyō, ce sont les dialogues improbables, les révélations absurdes et le manque total de réalisme à chaque seconde qui font tout le sel de l’expérience.
Lancé à pleine vitesse, sans autre direction artistique que de copier les codes des films catastrophes des années 70 et de faire l’apologie de la Japan Railway à coups de plans boostés à l’IA, le réalisateur (qui semble n’être ici qu’un directeur des effets spéciaux) laisse carte blanche aux acteurs et aux dialoguistes. En roue libre totale, chaque ligne de texte fait mourir de rire :
« Je suis parlementaire, je dois aider les gens. »« Je suis contrôleur, je dois aider les gens. »« Je suis influenceur, je dois aider les gens. »« J’ai écrasé mon hélicoptère sur une école maternelle, je dois aider les gens. »
Tout est à ce niveau. Et le jeu va avec : on a l’impression qu’aucun acteur n’y croit. On est en pleine saison 1 d’Oshi no Ko. Je ne peux même pas citer un personnage tant ils sont tous caricaturaux à l’extrême : politicienne, influenceur, lycéen… tous ont des dialogues et un jeu plus improbables les uns que les autres. Et pourtant, il n’y a pas que des parfaits inconnus.
On retrouve l’inusable Saitō Takumi, capable du meilleur comme du pire. Et vous vous en doutez : dirigé à nouveau par Higuchi Shinji, il atteint ici des sommets de ridicule en responsable de la vie des 400 passagers, qu’il sauvera évidemment grâce à des trouvailles aussi improbables qu’irréalisables dans la vraie vie. Admiratifs devant son « talent », l’ensemble des acteurs semblent suivre son exemple pour mal jouer, avec une palme décernée à Hosoda Kanata, carrément méconnaissable. Je ne l’avais jamais vu aussi faux dans un rôle.
Mais qu’est-ce qu’ils sont drôles, à débiter leurs absurdités ! Et grâce à Netflix, c’est disponible dans toutes les langues. Je vous laisse découvrir les sous-titre qui s'emmêlent les pinceaux, presque aussi drôle que les dialogues originaux. On dépasse le niveau « what the fuck », au point qu’il ne manque qu’une invasion extraterrestre pour expliquer la folie de certains personnages.
Bien sûr, on aurait pu se dire que tant qu’à faire, la réalisation aurait pu aller franchement vers le délire parodique façon Y a-t-il un pilote dans l’avion ?. On perçoit les clins d’œil avec le gyrophare rouges et les vieux téléphones à fil dans cette salle de contrôle d'un autre âge. Mais quand on décroche et qu’on dit « Ted Crochet », on veut une baffe dans la figure d’un acteur, pas des :
« Oui, je vais conduire ce train jusqu’à sa destination, même si je dois mourir pour cela ! »Euh… non, mais allô ? Qui conduit, alors ?
Et encore une fois, certaines critiques ont vraiment pris ce film au premier degré, comme une critique des politiques ou des réseaux sociaux. Pour moi ce ne sont que des références au monde d'aujourd'hui dans un film hollywoodien des années 80
Finalement ?
J’ai passé un excellent moment. Même si les dialogues semblent avoir été écrits par une IA, ils m’ont fait éclater de rire à chaque scène. Moi qui étais prêt à recommander ce film à mon fils conducteur et véritable Otak de trains, en France, après avoir visionné ses premières minutes à la gloire de la JR… j’ai honte maintenant de lui infliger deux heures de ce niveau. Il pourrait même avoir des pensées qui mettraient en danger la vie de ses passagers. Comme une envie pressante qui l’oblige à ralentir sous les 100…
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Super
Golden Kamuy saison 1 est un véritable coup de cœur, offrant une aventure palpitante et remplie de rebondissements. La série se déroule dans le Japon de l'après-guerre russo-japonaise et suit Saichi Sugimoto, un ancien soldat, et Asirpa, une jeune Ainu, dans leur quête pour retrouver un trésor caché. Ce qui démarque Golden Kamuy des autres animés, c’est son mélange unique d’action, d’humour, de culture et d’histoire.🎬 Un scénario captivant
L’intrigue est intrigante et bien rythmée, avec des révélations qui tiennent le spectateur en haleine. La chasse au trésor est loin d’être simple, et les personnages rencontrés en cours de route sont souvent aussi imprévisibles qu’intéressants. Le duo entre Sugimoto et Asirpa fonctionne parfaitement : lui, bourru et impétueux, et elle, calme, astucieuse et dotée d’une grande connaissance de la culture Ainu. Cette dynamique crée des moments de tension, mais aussi de tendresse et d’humour qui rendent la série encore plus plaisante.
🔫 Action et suspense
Le côté action est bien maîtrisé, avec des scènes de combat très bien animées et des poursuites haletantes. Le suspense est constant, et chaque épisode nous amène de nouvelles surprises, que ce soit sur les personnages ou l'intrigue générale. L’animation est fluide et les combats sont violents mais réalistes, ce qui apporte un côté brut et sans fioritures à l’histoire.
🌍 Une immersion culturelle
L'un des points forts de Golden Kamuy est l'exploration de la culture Ainu, que l’on ne voit pas souvent dans les anime. La série prend le temps de nous enseigner les coutumes, les traditions et les croyances de ce peuple indigène à travers le regard d’Asirpa, et cela donne une profondeur bienvenue à l'intrigue.
😂 Humour et personnages colorés
Un autre aspect qui rend la série addictive, c’est l’humour qui se mêle parfaitement à l’action. Malgré les thèmes sombres et les combats violents, la série garde une légèreté grâce à des personnages secondaires hauts en couleur. Que ce soit les autres chasseurs de trésor ou les membres de l’armée, chaque personnage a sa propre personnalité, ce qui les rend mémorables.
Conclusion
En résumé, Golden Kamuy saison 1 est une excellente série qui mélange aventure, histoire, action et culture d’une manière captivante. L'alchimie entre les personnages principaux, l'humour subtil et l’aspect historique et culturel en font un anime vraiment unique. Si tu aimes les récits d'aventure avec des personnages bien développés et des intrigues passionnantes, cette première saison est un incontournable.
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Lumberjack the Monster
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Mitigé !
🌲 Un univers intéressant, mais une exécution inégaleLumberjack in the Monster a un concept prometteur : un monde où des créatures mythologiques et des monstres sont intégrés à l'univers quotidien, avec des personnages qui doivent naviguer entre l’horreur et des dilemmes moraux complexes. Au premier abord, l’univers est fascinant, et la série prend des risques en explorant des thèmes comme la survie, la vengeance et la confrontation avec des entités surnaturelles.
Visuellement, le film joue bien avec l’ombre et la lumière, et certains monstres sont vraiment impressionnants. L'animation et les effets spéciaux sont réussis, donnant vie à un monde à la fois effrayant et captivant. Le tout crée une atmosphère dense et sombre qui attire rapidement l'attention.
⚖️ Un rythme irrégulier
Cependant, le film a du mal à tenir une constance. L'introduction est accrocheuse et met bien en place l'univers, mais à mesure que l'histoire avance, certaines scènes sont étirées inutilement, et d'autres se sentent précipitées. Le film jongle entre des moments de tension palpitante et des scènes qui traînent en longueur, ce qui casse un peu l'immersion. Certains aspects de l’intrigue, notamment la psychologie des personnages, sont survolés et manquent de profondeur, ce qui laisse un sentiment de frustration.
👥 Des personnages intéressants, mais peu exploités
Les personnages ont un potentiel énorme, mais ils ne sont pas toujours aussi développés qu’ils pourraient l’être. Le protagoniste, un bûcheron traînant un lourd passé, aurait gagné à être plus nuancé. Bien que l’acteur principal fasse de son mieux, certains moments sont un peu clichés, ce qui empêche de pleinement s’attacher à lui. Le film semble aussi vouloir explorer des relations plus complexes, mais celles-ci sont parfois esquissées, ce qui rend difficile de s’investir émotionnellement dans les dynamiques.
✅ Des moments forts mais une fin prévisible
Malgré tout, Lumberjack in the Monster parvient à surprendre avec des scènes de combat impressionnantes et un visuel vraiment attrayant. Les créatures et l’aspect horreur sont bien menés, et il y a des moments où l'on ressent une réelle montée en tension. Malheureusement, la conclusion est un peu prévisible et ne parvient pas à clore l’histoire de façon aussi mémorable que le film l’aurait mérité.
En résumé
Lumberjack in the Monster a de bonnes idées et propose un univers intrigant, mais la série souffre de quelques longueurs et de personnages sous-exploités. Si tu apprécies les récits de monstres et de survie, tu trouveras sans doute de quoi t’amuser, mais si tu recherches une histoire plus aboutie et fluide, tu pourrais être un peu déçu par certains choix narratifs. C’est une expérience qui se laisse regarder, mais qui n’atteint pas son plein potentiel.
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Cette critique peut contenir des spoilers
Pour un Père, une Sirène
Rien de grand ne se passe, et pourtant tout est dit.Le garçon, encore tout jeune,
ne fait qu’un petit geste —
mais dans ce geste, une mer entière d’amour.
Il prend un rêve d’enfant,
une simple sirène,
et le transforme en espoir,
pour aider son père pêcheur,
perdu dans les vagues du quotidien.
Et quand le conte semble se taire,
le père, en silence,
fabrique une autre queue de sirène —
comme une promesse,
comme un merci tissé dans le fil de l’eau.
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Youkai Sharehouse: The Movie
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L'IA ne passera pas par mio
Dans la grande tradition des films de fin de série, Yokai Sharehouse : The Movie reprend et termine, tout du moins en apparence, le sitcom entamé en 2020 et mettant en avant notre petite gaffeuse Mio, jouée par la toujours excellente Koshiba Fuka. Ne vous y trompez pas ! Sitcom, cela était, sitcom cela reste, dans ce qui n'est finalement qu'un long épisode de 1 h 45.Pour ma part , j'ai dû attendre trois ans pour visionner cette suite, car malgré les VPN et les plateformes, il est toujours difficile en France de regarder les films tirés de séries — question de droits, évidement, surtout pour les films de la Toeï. Et pourtant, je me souviens m’être réjoui de son annonce à la fin de la saison 2. Ne vais-je, donc, pas être trop déçu ?
Je rappelle quand même que, seulement six mois après son annonce et la fin de la série Oshi no Ko sur Prime, le film vu, je reste toujours sur ma faim, avec la même envie de vengeance envers les producteurs qu’Aqua envers son père.
Bien sûr, je n’attendais ici, ni grands effets spéciaux ni leçon de maquillage. Et on peut dire que je n’ai pas été déçu. Pur produit de la période COVID, Yokai Sharehouse reste un sitcom cheap, et il l’assume pleinement. Les FX et maquillages font toujours autant rire — voire peur — mais pour de mauvaises raisons. Le lieu quasi unique qu’est le salon nous fait toujours autant penser à Friends, et on adore encore avec nostalgie les "inserts" façon petit théâtre de papier d’horreur. Même si ceux-ci sont ici bien trop absents.
Et pour cause : le thème principal est l’IA et les applications de "boyfriend virtuel", encore plutôt rares en Europe, mais qui faisaient déjà beaucoup parler d’elles en 2022. Et c’est là que le film devient intéressant. Au regard de l’IA de 2025, omniprésente, le film entre étrangement en résonance avec notre quotidien, malgré son apparente absurdité pour les non-initiés.
Effectivement, le novice ne comprendra rien et trouvera l’ensemble grotesque, voire idiot. Tout comme, dans les années 60, on pouvait tomber par hasard sur un épisode de Ma sorcière bien-aimée et ne rien y comprendre. Mais le fan, le vrai — celui qui est en train de dévorer ces lignes (on peut rêver)— sait apprécier le retour de tous ces personnages auxquels il s’est tant attaché.
Le novice devra donc accepter sans explication la situation d’une jeune reporter vivant dans un temple rempli de yokai losers et cosplayés, parfois dépressifs ou alcooliques. Car, contrairement à Oshi no Ko, on n’a pas droit ici à une heure de récapitulatif. Et c’est tant mieux.
L’histoire, centrée sur ces applications de "boyfriend virtuel", parvient à nous interroger sur notre rapport affectif à l’IA. Et cela, un an avant la sortie de ChatGPT. Je ne parlerais pas d’œuvre visionnaire, car au pays des robots et des yokai, cela fait bien longtemps — pour ne pas dire des millénaires — que sentiments et ressentiments habitent tout être et toute chose, animée ou inanimée. La religion shintoïste permet donc un parallèle entre ces deux mondes : celui d’aujourd’hui avec l’IA, et celui d’hier avec les yokai.
"Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme ?" : cela fait bien longtemps — au moins depuis Astroboy — que les Japonais ont tranché. L’IA a une âme. On peut donc s’attacher à un personnage virtuel, jusqu’à vouloir l’épouser et pleurer sa disparition.
Vous aurez donc, tout en vous moquant des costumes ou du jeu de certains, de véritables questionnements philosophiques essentiels en 2025. Je recommande donc chaudement la vision de ce film, après celle des deux ou trois premiers épisodes de la série, histoire de se mettre dans le bain. Une série qui dépeint si bien le monde — réel ou virtuel — dans lequel vivent les jeunes Japonais et bientôt vous.
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Un vent de déjà-vu soufflé par une nouvelle héroïne !
Bon... je vais être honnête d'entrée 😅. J'étais super curieuse et impatiente de voir la suite du premier volet que j'avais beaucoup aimé ! Du coup, en lançant The Witch Part 2, je pensais retrouver la vibe directe du premier... et franchement, j'ai été décontenancée... 😵💫Déjà, grosse surprise : Kim Da-mi, notre héroïne iconique, est là... mais seulement en guest. Autant dire que ça m'a laissée un peu perplexe. 😭 J'avais tellement envie de continuer son histoire !
À la place, on suit une nouvelle héroïne, dans un schéma qui ressemble énormément au premier film 🧬
" Une fille aux capacités spéciales, des méchants pas très futés, des scènes d’action bien chorégraphiées... rien de vraiment neuf sous le soleil."
Cela dit, je ne me suis pas ennuyée pendant le visionnage 😌. Le film reste dynamique, l'action est efficace, et les acteurs de ce deuxième volet font le job. Ils sont loin d'être mauvais, au contraire, certaines scènes sont même bien portées émotionnellement ! 🔥
Mais clairement, j'aurais aimé qu'on poursuive directement avec Kim Da-mi. C’est un peu frustrant d'avoir un "nouveau départ" au lieu d’une vraie suite 😕 La sensation de déjà-vu est assez présente, et à certains moments, j'ai eu l'impression de revoir une version remixée du premier film.
Bref, The Witch Part 2 reste un bon divertissement si on ne cherche pas trop à comparer avec son grand frère. 🎬 Il pose des bases pour un univers plus large, mais il manque un petit quelque chose pour vraiment décoller...
Maintenant, j'attends de voir ce qu'ils vont faire avec la 3e partie 🤞🏻. J'espère vraiment qu'on retrouvera toute la puissance qu'on avait adoré dans le 1 !
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Sans grand intérêt
C’est un gentil petit film, bien interprété, dans un joli décor. On y fait connaissance de quatre soeurs et de leur entourage. Sur le papier, c’est une bonne idée, mais pour se concrétiser, encore faut-il de la matière. Les personnages manquent de profondeur car leur passé n’est pas assez travaillé : on comprend globalement la problématique (l’absence des parents, car morts, partis ou éloignés) et les conséquences sur la vie de chacune des sœurs. Mais tout cela est superficiel et ne génère pas beaucoup d’émotion et encore moins d’intérêt. Tout est lisse et fluide. J’ai eu l’impression que le film durait beaucoup plus que les 2h annoncés, ce qui traduit un certain ennui.Donc un gentil petit film, ni plus, ni moins.
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Only the River Flows
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Rien compris
Je l’ai regardé jusqu'au bout, me disant que la fin allait éclairer tout le cheminement. Je reste dans le Schwartz total. Rien compris à l’enquête, ni à l'évolution du personnage principal. On a vraiment l’impression d’être dans un film tourné dans les années 90, ce qui donne l’impression de regarder un film qui a mal vieilli. Alors qu'il est tres récent. Bref, à part l’acteur principal qui ne démérite pas, il n’y a rien à garder. J’ai mis 3 étoiles car j’ai été au bout.Cet avis était-il utile?

«Silent Love» est vraiment un titre parfait pour ce film. On ne parle pas d’un amour exubérant, de grande déclaration ou autre, mais d’un amour silencieux, non-dit, mais sincère. J’ai réellement apprécié les deux personnages principaux, leur façon de se connecter malgré leurs handicaps respectifs, et la façon dont ils se rapprochent ! Ce film a une belle histoire, émouvante par moment, douce-amère par d’autres, j’ai apprécié mon visionnement. Malheureusement, j’ai trouvé que trop de questions étaient laissées sans réponse, en plus d’avoir une certaine lenteur par moment, et une fin, qui elle, me laisse sur ma faim. Malgré tout, c’était un beau film, et je ne regrette pas mon visionnement !
⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘
*Avis Complet sur mon Blog :*
https://lamagiedeshistoires.wordpress.com/2025/04/27/avril-2025-en-rafale-dramas-films/
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The Bad Guys: Reign of Chaos
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Je dois avouer, je ne m’attendais pas à ça, mais j’ai vraiment été déçue de « Bad Guys : Reign Of Chaos ». Peut-être aurais-je aimé plus si je n’avais pas vu le drama, et que je n’avais pas espéré qu’il soit à la même hauteur ? Mais loin d’être comme la première saison, où l’action se mélangeait à l’enquête, l’analyse et où tous les acteurs étaient mis en vedette, pleinement. Ici, après un long départ, nous avons le droit à de l’action… et plus ou moins que ça. Mettant en vedette l’acteur Ma Dong Seok, son personnage dont la force semble inhumaine, et malheureusement, sous-exploitant les autres personnages et les acteurs qui les incarnent. Ce n’était pas mauvais, mais c’est loin d’être ce que j’espérais ou d’être à la hauteur de la saison 1 du drama.
⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘
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surévalué
J’ai été influencée avant de visionner ce film : je pensais que c’était un des meilleurs policiers coréens, une référence dans le genre. Donc forcément très déçue, car je n’ai rien vu d’extraordinaire : scénario classique, personnages à la limite de la caricature, naration plate, fin décevante. Pas de surprise, un interet limité, presque de l’ennui. J’ai mis 4/10 car j’ai quand même été jusqu'au bout et qu’il date de 2003. Je n’en garderai pas un souvenir impérissable.Cet avis était-il utile?

The Witch: Part 1. The Subversion
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Le calme avant le carnage :)
Au début, je me suis dit : “ok, une ado paumée, un peu chelou, des migraines bizarres... classique drama mystère tranquille.”Mais alors ???
LE TWIST !!! 😱
Je suis passée de “elle est fragile” à “OH ???” en 0.3 secondes.
Le calme avant le chaos. Et là... ça explose... 🤯🧨🩸
Kim Da Mi ?
Un MONSTRE (dans le bon sens hein 😅)
Elle passe de “mignonne en galère” à “machine de guerre glaciale” sans cligner des yeux.
C’est flippant, stylé, jouissif ! 😵💫🔪🖤
Et les autres persos… tous chelous, tous inquiétants, et pourtant tellement stylés. Mention spéciale à la bande de tarés qui débarquent à mi-parcours là, c’était du caviar de tension. 😏💥
L’esthétique ?
Sombre. Belle. Épurée. Tranchante.
Y’a de l’action millimétrée, du sang, et surtout une vibe ultra maîtrisée 🎬🧪
J’ai kiffé que ça parte pas direct en mode film d’action.
Tu prends ton temps, tu t’installes, tu t’attaches… et après tu te prends une grosse claque.
Ce film, c’est un “AH OK ???” permanent 😂🫠
Et puis… la fin ?
T’as juste envie de relancer le 2e direct.
Parce que tu sais que le plus fou est encore à venir 😈🔥
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Révélations... ou pas !
Bon… comment dire ça gentiment ? J’ai pas du tout accroché... 😵💫🥱Franchement, j’étais curieuse. Le spitch me donnait envie, l’affiche était intrigante, je m’attendais à un bon thriller sombre avec une tension qui monte… mais non. C’est tombé à plat, direct... Surtout après avoir visionner " Stranger from hell " 🤣
Alors oui, les acteurs jouent bien, rien à dire de ce côté-là. Ils portent le film comme ils peuvent, mais quand le scénario est à la ramasse, tu peux pas faire de miracle hein 😬
L’histoire ? Bah justement… je l’ai cherchée. J’ai passé mon temps à attendre un rebondissement, un twist, un truc qui me fasse dire “ok ça y est, je suis dedans” mais c’est jamais venu. Rien. J’ai fini le film avec une tête genre “mais c’était quoi le but en fait ?” 🤷🏼♀️😐
C’était lent, confus, parfois presque prétentieux dans sa façon de vouloir dire des choses… sans jamais vraiment les dire. J’ai eu l’impression de regarder un brouillon d’idée mal exploité, avec zéro émotion, zéro tension, zéro intérêt quoi 🫤
Et pourtant je suis bon public hein ! J’aime les films lents quand c’est bien fait, j’aime les thrillers sombres… mais là, c’était juste creux. Le genre de film où tu regardes l’heure toutes les 10 minutes en te demandant quand ça va enfin commencer…
⚠️ spoiler : ça commence jamais 😩🤣
Bref, vous l’avez compris, c’était pas pour moi. J’ai tenu jusqu’à la fin en espérant un éclair de génie... mais nope 👎🏻
Je lui mets un petit 4⭐️ pour le jeu des acteurs et la réal pas trop mal, mais c’est tout...
Si vous voulez du mystère, du vrai, passez votre chemin ✋😁
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Un joueur, une guerre !
Alors là, c’est pas un film romantique... mais alors qu’est-ce que c’est bon quand même ! 😍On suit Kwon Yoo, un gars tout simple, tout chill (enfin presque), qui va se faire piéger salement et se retrouver dans une galère MONUMENTALE 😱
Et là, bam, le gars se transforme. Il devient pas juste un survivant, il devient un tigre vénère avec un cœur qui cogne fort.
Et franchement... JCW ? Encore une fois, servi à la perfection 🥵
Même sans love story, il te bouffe l’écran avec ses regards, ses bastons, ses moments de tension pure... Tu peux pas le quitter des yeux 😅
Et faut qu’on parle de Oh Jung Se aussi ! Cet acteur est un caméléon 🐊 c’est un kiffeur de rôle chelou mais toujours bluffant. Il peut passer de gentil à flippant en 0,5 seconde.
Et LA BANDE DE GEEKS ?!!
Mais je les ai a-do-rés 🥰 Chaque membre est unique, un peu fou, un peu taré, mais ensemble ils forment une team de l’ombre trop stylée !
Leur énergie ramène une bonne vibe au film, ils cassent un peu la noirceur ambiante, et t’as trop envie de jouer avec eux haha 🎮😎
Y’a une petite tension entre Kwon Yoo et la hackeuse (et on était là en mode : “allez un bisou pitiéééé” 😩💋)
Mais nope. Le film trace sa route, pas de détour love. Et en vrai ? Bah ça gêne pas. On est trop pris dans l’action pour pleurer l’absence de romance 😅
Et parlons de l’OST !! Les musiques envoient du lourd, elles rendent chaque scène encore plus vivante, plus immersive, tu vis le truc avec le cœur et les oreilles 🎧🔥
Bref, je me suis pas ennuyée une seconde ! C’est rythmé, stylé, avec des moments épiques et une vraie tension du début à la fin. JCW en mode full power, et nous, en train de baver en silence hahaha 🤭
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