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Avec un titre assez peu engageant, car trompeur, et une énième histoire de trois copines célibato-divorcées qui bavardent sur leur quotidien de trentenaires à chacune de leur sortie, on peut dire que Geeks démarre assez mal dans l'originalité. On s'attend évidemment aux sempiternelles et longues discutions sur le bonheur, le travail et évidement les hommes. Alors pour épicer l'affaire, la série se veut du genre policier-mystère, tendance génération Z x Otaku. Cela va-t-il suffire à nous sauver de l'ennui ? Cette simple introduction ne vous donnera pas la réponse et vous obligera à lire la suite. Et vous qui détestez faire des heures sups...Un gars, une geek
Matsuoka Mayu n'est pas une actrice qui cherche à tout prix à occuper le petit écran. Avec environ un drama par an, elle sait se faire désirer et change régulièrement de registre. Si l'an dernier, elle nous a enchantés dans son rôle très poignant de professeur courage pour Saiko no kyoshi, on peut dire qu'elle n'était pas attendu dans celui d'un policier scientifique excentrique. Encore moins pour endosser la difficile tâche de nous faire rire avec son côté Otak. Malheureusement, si elle y parvient aisément, la série ne tient pas toutes ses promesses de ce côté-là. Sortie du duo formé avec Shirasu Jin, on se prend souvent trop au sérieux. Le mélange des genres, avec des histoires de filiations pour nos trois héroïnes, est un ping-pong émotionnel qui casse fréquemment le rythme comique.
Trop "écrit", tue l'écrit
On sait pertinemment quand on va nous demander de rire. L'écriture laissant peu de place à la surprise. Au restaurant, devant la machine à café, devant l'appart de Mayu chan. Le duo avec Shirasu Jin est vraiment le point fort de la série. Casté pour sa bogossitude, il fera à nouveau fondre, mais enchantera par sa relation avec notre héroîne Otaku et bourrée de TOC. Ils livrent tous les deux une prestation qui rattrape à elle seule tous les clichés des mystery-dramas dont vous n'échapperez pas ici. On regrettera donc cette mise en avant par dose homéopathique de ce duo. Même s'il semble prendre un tournant inattendu au milieu de la série. Le défaut habituel des mystery dramas qui par les histoires parallèles étire les relations des personnages principaux est présent, mais heureusement, on avance dès l'épisode 4 dans les histoires personnelles.
La génération Zetto (presque) au travail
Le gros point mis en avant dans la série est la promesse de découvrir la génération Z à l'œuvre dans le monde du travail. Mais n'attendez pas de grandes découvertes si vous ignorez tout de leurs pratiques. Par paresse, peut-être, les scénaristes ne s'attacheront qu'aux "défauts" de la seule Matsuoka Mayu, alors qu'elle est entourée de trentenaires. Et encore, à part sa peur des heures supplémentaires, on est loin d'un brulot dénonçant la soi-disant mollesse de cette génération. Pire, l'ensemble du cast reflète l'ancien monde du travail et son efficacité qui n'est plus à démontrer. À commencer par les très sérieuses Tanaka Minami et Tazikawa Karen pour qui on aurait aimé aussi un grain de folie dans leur job, comme dans leur vie.
Mais ne vous y trompez pas, Geeks est un bon moment de divertissement, les acteurs méritent le détour et on se prend facilement aux jeux des enquêtes qui, elles, ne prennent pas la tête. Vous n'aurez donc pas cette sensation de non-accomplissement qui peut vous obséder jusqu'à trouver la dernière pièce d'un puzzle ou finir un rapport avant 17h00. D'ailleurs, c'est l'heure, .... Je pars le premier
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Cette critique peut contenir des spoilers
À vouloir trop en faire, on se vautre...
Cette saison est à l'image de la deuxième ^^', très plate... [Alors vous me direz, j'ai mis la même note pour toutes les saisons... Oui, car bien que la première m'avait convaincue sur le côté trash émotionnellement, les effets spéciaux & le casting trop mis en avant (beaucoup de star connues) m'avait quelque peu rebuté ^^'. De fait, elle a obtenu la même note que les suivantes.]Que dire sur cette saison ?
• Une évolution assez logique quand on voit les évènements sur lesquels on nous avait laissé.
• Aucune explication valable sur les cas particuliers ou les néo-humains... Ni sur MH-1. Pourquoi voulait il le corps de sa fille ? (Oui, son corps est adéquat pour survivre & après ? Quel est le réel but ?)
• Une fin difficile à comprendre... (la partie avec Eun-Yu, Eun-Hyuk & Hyun-Su) Sont-ils humains ? Néo-humains ? Des monstres ? Qu'attendent-ils ?
Je pense que finalement, ils auraient dû s'arrêter à la première saison. L'œuvre originale n'allait de toute façon pas beaucoup plus loin... Puisque d'après mes souvenirs, il ne restait que 1 ou 2 chapitres après... (⚠ SPOILER Manhwa ⚠ Où on les voit arriver dans un "refuge" avec des militaires & finalement Hyun-Su qui est devenu un Néo-humain apparait près du camps... Suite au fait qu'il entend une mélodie qu'il reconnait, une émotion nait sur son visage... Ce qui donne de l'espoir pour la suite... Et ça finit la dessus. ⚠ Fin du SPOILER ⚠) Pourquoi avoir inventer 2 saisons qui n'apportent pas de réelles plus-values ?
Enfin bon, je ne vais pas dire que j'ai passé un mauvais moment mais je m'attendais à plus vu l'ambiance générale du manhwa & de la première saison...
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My Personal Weatherman
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Bl to see once in your life.
Wow. It's been almost 3 months since I watched this BL and I can't get over it. Small clarification: if you don't like borderline toxic relationships and lack of communication, you can move on. Although the episodes are very short and fast, I didn't get bored once. You have to be hooked in this BL, because I would tend to say that nothing happens at all, but it's quite the opposite.First, let's talk about the way the actors play: natural, incredible, and above all fluid.
Their personalities are both very different and distinct, but that's what makes them charming. The only flaw is the end. It's neither a 'happy end' nor a 'sad end'. It's just their life, and they're happy with it. This is my first Japanese BL and I'm not disappointed.
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Une suite quelque peu redoutée...
Lorsque j'ai vu l'annonce pour une saison 2 et 3, j'avoue que j'ai un peu fait la grimace... (Ayant lu le manhwa entre temps, je m'étais bien rendue compte que la fin de la première saison était +/- celle de l'œuvre originale, de fait, je me suis demandée ce qu'on allait bien pouvoir nous inventer pour tenir non pas une saison mais 2 de plus.)Je me suis donc lancée plus que septique. (Bon, le fait que j'aie lu des critiques en diagonal n'a pas vraiment aidé x'D)
Lors du lancement du premier épisode, je suis très vite mal à l'aise, est-ce que la situation était vraiment horrible ou il faisait trop chaud dans la pièce ? Les deux j'imagine... Le ton a directement été donné... Les survivants étaient loin d'avoir vécu le pire ! Encore une fois, on nous montre toute la cruauté dont peut faire preuve l'être humain lorsqu'il est poussé au désespoir. (Je vais pas m'en plaindre, c'est pour ce coté plus "psychologique" que je regarde ce genre de série ^^)
Je pensais donc que la suite serait sur le même ton... Finalement pas. Cela devient assez vite "plat", les attaques pas si fréquentes que ça... Les personnages principaux assez absents... On dirait que cette saison est faite pour mettre les "éléments déclencheurs" de la saison 3 en place. (À voir, si mon hypothèse est juste lorsque j'aurai vu la saison 3.)
J'attends donc de voir si je serai plus convaincue par cette dernière saison =D.
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Soit on aime , soit on aime pas.
Contrairement à d'autres je ne me suis pas arrêtée au premier épisode qui je l'avoue ne m'a pas emballé. J'ai persévéré et j'ai découvert un drama bien mieux que d'autres. L'ambiance et l'OST principale sont de toute beauté, il mérite d'être vu au moins une fois. Il y a comme toujours quelques scenes qui cassent le rythme et des personnages qui tapent sur les nerfs mais heureusement, il y a des passages d'une intensité à couper le souffle et des revers de médaille qui m'ont donné le sourire.Cet avis était-il utile?
Pandora no Kajitsu: Kagaku Hanzai Sosa File Special
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Introduction à la saison 3
Comme tout bon médicament générique, je copie la formule écrite pour la saison 3. Et cela sans changer une seule molécule :Que de questionnements existentiels ont entouré ce visionnage, et cela, après presque deux ans d'attente, d'une saison 3 pourtant indispensable. Comme j'avais adoré la série, je me suis précipité sur le 1ᵉʳ épisode sans m'y préparer. Même pas un petit récap en ouvrant le dossier classé X-files 2022 dans les archives poussiéreuses d'un 10ᵉ sous-sol d'un bâtiment fédéral. Mais quelle erreur de ma part. J'ai bâclé cette saison qui ne fait que 5 petits épisodes en peinant à me remémorer pourquoi j'avais tant aimé ce drama d'anticipation. Si vous ne voulez pas sortir aussi frustré que Dean Fujioka après un moment passé devant son écran d'ordinateur, suivez mes quelques conseils :
D'abord, revoir l'ensemble des épisodes pourrait évidemment aider. Mais l'évolution de la série vers plus de noirceur, qui semblait être une bonne idée pour la saison 2 n'encourage pas forcément. Cet équilibre rompu entre les sciences éclairantes et obscures qui améliorent ou font courir l'humanité à sa perte est encore moins évident ici. Les lieus sont sombres et les personnages sont encore plus noirs. Kishii Yukino, n'a plus rien de la professeure farfelue qui rend le sourire même à Fujioka. Je la trouve même très en retrait dans cette saison, la rendant fade, voir pire, inutile à l'histoire, à mon gout. Je ne reconnais en réalité plus la série qui m'avait temps enchanté.
Mais pourquoi tant de haine ?
Ou alors mes souvenirs me jouent des tours, car je n'ai pas eu le courage (aux vues de la somme astronomique de dramas en retard) de suivre mon premier conseil. Pire, j'ai complétement zappé l'épisode spécial qui devait réintroduire la saison. Ne faite pas cette erreur ! Puisque même détaché de la trame principale, il remet les souvenirs en place. On y retrouve déjà les personnages de la série, qui à mon sens sont devenus trop nombreux. Cela explique certainement le rôle mineur de Yukino Chan. Mais dans ce contexte, chaque membre de l'équipe n'est plus qu'un rôle secondaire. La venue de Suruga Taro qui prendra de l'importance dans la suite de la série ne remplace malheureusement pas comme il faudrait Masanobu Andō et sa folie inquiétante, qui va vous manquer par la suite. En réalité, trop de flics seront mis en avant à un point quevous ne pouvez imaginer si vous n'avez pas encore lu le résumé.
Médicament générique
Le scénario tombe justement un peu à plat avec ces seulement 5 épisodes. Si l'introduction ne pouvait parler que d'IA, 2024 oblige, le contrôle de la conscience ou la conscience tout court sera le thème récurant du reste de la série. Oubliant ainsi ceux du transhumanisme et de la vie éternelle qui n'avanceront pas énormément. Bien sûr, un Némésis scientifique, qu'on n'attendait pas en la personne de Tanaka Minami, sera là pour mettre le doute à Yukino Akase, mais cela fait tellement déjà-vu au sein même de la série que l'alchimie n'est plus là.
Les produits ont du mal à réagir ensemble et l'expérience n'est malheureusement pas concluante cette fois-ci. On aurait préféré des mystères séparés, et une histoire principale qui avance un petit peu, plutôt qu'une enquête de 5 épisodes, ou évidement que le gouvernement y est mêlé. On a l'impression que cette saison est un spin-off, mais on ne sait pour quel personnage. Et ses décors fades et sombres, le bureau de notre équipe, les égouts et usine désaffectées qui font la majorité des plans achèvent de nous décevoir. Heureusement nos acteurs favoris et cette musique écrite par, le maitre, Kanno Yugo sauvent cette saison, mais c'est malheureux d'imaginer voir la suivante sans même être obligé d'avoir vu celle-ci.
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Pandora no Kajitsu: Kagaku Hanzai Sosa File Season 3
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La recherche avance, mais pas cette fois-ci
Que de questionnements existentiels ont entouré ce visionnage, et cela, après presque deux ans d'attente, d'une saison 3 pourtant indispensable. Comme j'avais adoré la série, je me suis précipité sur le 1ᵉʳ épisode sans m'y préparer. Même pas un petit récap en ouvrant le dossier classé X-files 2022 dans les archives poussiéreuses d'un 10ᵉ sous-sol d'un bâtiment fédéral. Mais quelle erreur de ma part. J'ai bâclé cette saison qui ne fait que 5 petits épisodes en peinant à me remémorer pourquoi j'avais tant aimé ce drama d'anticipation. Si vous ne voulez pas sortir aussi frustré que Dean Fujioka après un moment passé devant son écran d'ordinateur, suivez mes quelques conseils :
D'abord, revoir l'ensemble des épisodes pourrait évidemment aider. Mais l'évolution de la série vers plus de noirceur, qui semblait être une bonne idée pour la saison 2 n'encourage pas forcément. Cet équilibre rompu entre les sciences éclairantes et obscures qui améliorent ou font courir l'humanité à sa perte est encore moins évident ici. Les lieus sont sombres et les personnages sont encore plus noirs. Kishii Yukino, n'a plus rien de la professeure farfelue qui rend le sourire même à Fujioka. Je la trouve même très en retrait dans cette saison, la rendant fade, voir pire, inutile à l'histoire, à mon gout. Je ne reconnais en réalité plus la série qui m'avait temps enchanté.
Mais pourquoi tant de haine ?
Ou alors mes souvenirs me jouent des tours, car je n'ai pas eu le courage (au vues de la somme astronomique de dramas en retard) de suivre mon premier conseil. Pire, j'ai complétement zappé l'épisode spécial qui devait réintroduire la saison. Ne faite pas cette erreur ! Puisque même détaché de la trame principale, il remet les souvenirs en place. On y retrouve déjà les personnages de la série, qui à mon sens sont devenus trop nombreux. Cela explique certainement le rôle mineur de Yukino Chan. Mais dans ce contexte, chaque membre de l'équipe n'est plus qu'un rôle secondaire. La venue de Suruga Taro qui prendra de l'importance dans la suite de la série ne remplace malheureusement pas comme il faudrait Masanobu Andō et sa folie inquiétante, qui va vous manquer par la suite. En réalité, trop de flics seront mis en avant à un point quevous ne pouvez imaginer si vous n'avez pas encore lu le résumé.
Médicament générique
Le scénario tombe justement un peu à plat avec ces seulement 5 épisodes. Si l'introduction ne pouvait parler que d'IA, 2024 oblige, le contrôle de la conscience ou la conscience tout court sera le thème récurant du reste de la série. Oubliant ainsi ceux du transhumanisme et de la vie éternelle qui n'avanceront pas énormément. Bien sûr, un Némésis scientifique, qu'on n'attendait pas en la personne de Tanaka Minami, sera là pour mettre le doute à Yukino Akase, mais cela fait tellement déjà-vu au sein même de la série que l'alchimie n'est plus là.
Les produits ont du mal à réagir ensemble et l'expérience n'est malheureusement pas concluante cette fois-ci. On aurait préféré des mystères séparés, et une histoire principale qui avance un petit peu, plutôt qu'une enquête de 5 épisodes, ou évidement que le gouvernement y est mêlé. On a l'impression que cette saison est un spin-off, mais on ne sait pour quel personnage. Et ses décors fades et sombres, le bureau de notre équipe, les égouts et usine désaffectées qui font la majorité des plans achèvent de nous décevoir. Heureusement nos acteurs favoris et cette musique écrite par, le maitre, Kanno Yugo sauvent cette saison, mais c'est malheureux d'imaginer voir la suivante sans même être obligé d'avoir vu celle-ci.
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A Good Day To Be a Dog
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«A Good Day To Be A Dog» a capturé mon intérêt grâce à sa légèreté, son côté unique et amusant, ses scènes mignonnes et attachantes, mais aussi grâce aux acteurs et actrices qui ont donné vie à cette histoire, avec brio ! Et tout ça, avant même de passer à la ‘seconde’ partie du drama qui offre un côté plus dramatique et sérieux. En plus d’avoir des scènes de baisers incroyables ! J’ai passé un excellent moment avec ce drama, même si je l’avoue, certaines parties m’ont moins intéressée, l’alchimie entre les personnages, le talent de ceux-ci, et les moments plus amusants ou mignons ont su maintenir mon intérêt tout au long ! Je n’hésiterai pas à revoir ce drama, et avec plaisir ! ?
⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘⁛⁘
Avis Complet sur mon Blog :
https://lamagiedeshistoires.wordpress.com/2024/08/13/a-good-day-to-be-a-dog-avis/
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Mon petit poussin
Sans même connaitre le sujet, le couple formé par Sakurada Hiyori et Hosoda Kanata justifie à lui seul le visionnage de Ano Ko no Kodomo. C'est en tout cas ce que pensent les parents de mon âge pour qui ils forment les ados idéaux. Je risque donc de ne pas être très objectif quant à ma critique. Ados ou Darons, on peut tous se retrouver dans cette histoire pourtant banale d'un jeune couple de lycéens fou amoureux, mais à qui il arrive LA tuile. Traité avec plus ou moins de finesse dans les dramas, le thème de l'adolescente enceinte semble galvaudé et pourrait rebuter une fois nos plus belles années passées. Mais croyez-moi, c'est avec sensibilité, réalisme et finesse dans l'écriture que l'ensemble du staff, du scénariste au metteur en scène, en passant évidemment par les acteurs à l'œuvre sur ce drama, a mis au monde la plus touchante histoire de mère-enfant.Les poussins grandissent trop vite
Très proche de l'âge des protagonistes, on est saisie par le réalisme du jeu de chacun. La mise en scène dévoile avec lenteur, calme et subtilité la progression de l'histoire. Laissant la place aux doutes, aux questionnements, aux changements radicaux d'avis qu'implique la situation. On vit viscéralement la progression de Sakurada Hiyori dans ses choix et ses renoncements. Il faut dire qu'elle incarne encore une fois avec perfection l'adolescente ou la jeune femme en devenir. Mais aussi, comme c'est le propos jusque dans le titre, cette enfant couvée par une maman poule idéale. On pourra regretter l'absence d'une figure paternelle, puisque que son Koïbito qu'est Hosoda Kanata vie dans le même contexte familial. Loin d'être mis de côté, la scénariste a eu l'intelligence d'intégrer le point de vue de son amoureux pleinement aux décisions de Hiyori Chan. Mais dommage que ma génération d'homme (les vieux) ne soit pas plus présente dans l'histoire, nous mettant hors-jeu.
Une critique de la société (Encore !)
Comme dans 50% de mes reviews, vous attendez mon laïus habituel sur la critique de la société patriarcale et du poids des convenances. Si elle est bien présente, cela reste secondaire. Car impossible de juger ce qui se passe dans cette série. représente tout simplement la vie, la vraie. On ne juge pas des choix que personne ne voudrait avoir à faire. Un ado immature ne se permettrait même pas de juger les parents. Car l'écriture est si bien faite qu'elle ne donne le mauvais rôle à personne. On s'identifie à tous et elle révèle un caractère pédagogique sans faille. Et cela aidé par les acteurs. Hosoda Kanata est, par exemple, gentil, mais loin d'être niais et ça fait du bien. La parentalité est questionnée du point de vue de chacun et ils se valent tous.
Forever Young, i wanna be
Une douceur se dégage en fait de la série. Du moins dans la première moitié. Peut-être parce qu'elle cherche à rassurer ou à guider sans donner de leçon. La musique, notamment l'opening de Riria ou l'ending de Beat Garden, vous plongent dans cette douceur d'une enfance qu'on ne veut pas quitter. Une adaptation de Manga réussit et indispensable.
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Des Fleurs dans L'adversité
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très belle série
Quand votre monde bien rodé et parfait s'écroule, allez-vous vous en sortir ?Le début de la série est un peu un scénario catastrophe, avec des femmes qui ont été oisives toute leur vie qui se retrouvent sans rien ! Mais L'actrice principale est très intelligente et débrouillarde ! Saura-t-elle se sortir des pièges et des gens qui vont la bloquer ?
A cette situation qui va évoluer sans cesse, s'ajoute de belles histoires d'amour, notamment entre les deux acteurs principaux.
C'est un amour pur, sans mauvaise compréhension, il y a bien sur des obstacles mais externes, entre les deux le courant passe toujours.
La production est bien, les costumes et bijoux sont à la hauteur. Le rythme est aussi bien, on ne s'ennuie pas.
Spoiler :
C'est un happy ending !
When your well-rehearsed, perfect world collapses, will you make it through? The beginning of the series is a bit of a disaster scenario, with women who have been idle all their lives finding themselves with nothing! But the lead actress is very smart and resourceful! Will she be able to get out of the traps and the people who are going to block her? To this situation, which is going to evolve constantly, are added beautiful love stories, notably between the two main actors. It's a pure love, without misunderstanding, there are of course obstacles but externally, between the two the current always passes. The production is good, the costumes and jewels are up to scratch. The pace is very good, and you never get bored.
Spoiler:
It's a happy ending!
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L'exploration des sentiments à des âges différents
Nos attentes changent avec le temps. On grandit, on expérimente, on mûrit. C'est ce qu'explore Tokyo Tower au travers de son histoire sous couvert d'infidélités.Toru est un étudiant en médecine lassé. Asano Shifumi est une architecte reconnue mariée. Après une rencontre fortuite, ils vont créer un lien qui va rapidement devenir une liaison. De l'autre coté, Koji est curieux devant tant de passion de la part de Toru, une facette de son ami qu'il n'avait jamais vu jusqu'ici. A la fois intrigué et motivé par le goût du challenge, il va séduire la mère d'une adolescente à laquelle il donne des cours, Kawano Kimiko.
Personnellement, l'histoire entre Toru et Shifumi est illusoire et voué à l'échec dès le départ. Contrairement à celle entre Koji et Kimiko qui avait un goût différent. Elle semblait plus réaliste, plus amoureuse, plus concrète. Peut-être parce qu'elle semblait plus accessible ? Je l'ignore, mais la seconde romance était plus sensible et forte d'émotion à mes yeux.
Le casting est formidable, je n'ai rien à redire dessus. La narration s'amuse avec les sentiments de la meilleure façon (et j'aime les dramas japonais pour cette raison). En réalité, la seule chose qui m'échappe est l'intérêt de Toru pour la Tokyo Tower. Je n'ai pas réussi à saisir les sous-entendus, mais je ne m'en formalise pas trop non plus.
Bref, Tokyo Tower met en avant une relation qui favorise la croissance et la maturité. Toru et Koja expérimentent et grandissent, tandis que Shifumi et Kimiko reprennent le contrôle de leurs vies. Le tout avec une très jolie bande son.
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Une curiosité aux sentiments mitigés...
C'est assez compliqué de parler de cette série parce qu'elle laisse des sentiments mitigés tout au ayant quelques points intéressants…Playboyy pue le sexe, littéralement. Le sexe, la dépravation, la sueur et la douleur. J'ai eu besoin d'un peu de temps pour arriver à la fin (je ne recommande pas de la binge-watch), mais c'était une curiosité qui me donnait envie d'aller jusqu'au bout. Et peut-être que le regard sauvage de Koawoat était aussi une raison de ma ténacité, ahah.
À mes yeux, la plus grande réussite de cette série est son ambiance. Dès le premier épisode, il y a une tension qui s'installe. C'est à la fois érotique, sexuel, sensuel, chaud, humide, mais aussi curieux. De temps en temps, ça devient plus lugubre ne serait-ce que par la direction prise par l'intrigue, pour finalement revenir à des hommes nus qui s'amusent dans les draps (ou ailleurs). Parfois, ça sonne comme un vieux porno ringard. Certaines scènes sont tellement horribles qu'elles en deviennent drôles tout en ayant une forme d'attraction... Honnêtement, c'est souvent embarrassant. Mais à titre comparatif, j'étais plus à l'aise devant Playboyy que Secret Crush on You (que j'ai abandonné après trois tentatives).
Je ne pense pas qu'il faille prendre l'histoire au sérieux. C'est tiré par les cheveux avec une enquête qui s'entremêle à des romances et à des règlements de compte. Je n'ai pas compris l'intérêt de certains personnages. La fin me laisse perplexe… Je ne l'ai pas suivi à la loupe. Cependant, je n'ai pas le souvenir que cela pouvait prendre cette direction. Je ne suis donc pas très emballée par une suite, mais après tout…
Difficile de ne pas parler des scènes de sexe. Elles sont particulièrement osées pour certaines, mais elles sont bien réalisées. Ça colle à l'univers de la série. Pour prendre un exemple, les scènes de Kiseki: Chapter 2 étaient audacieuses oui, mais elles ne dégageaient rien, contrairement à celles de Playboyy. Qu'elles plaisent ou non, elles ont une ambiance et dégagent quelque chose (un sentiment, une tension...). Pour cette raison, j'ai ajouté 0.5 à ma note globale, parce qu'on ne peut nier l'aplomb des acteurs.
Je pense qu'il est important de mentionner que vous ne pouvez pas aimer/regarder Playboyy si vous êtes mal à l'aise avec la nudité ou des actes durs. On voit beaucoup de fesses, de torses transpirants et des actes qui peuvent déranger et peut-être choquer pour les plus sensibles. Personnellement, je suis une personne très pudique lorsqu'il s'agit de mon corps et de mes sentiments, mais la nudité des autres ne me dérange pas du tout. Je n'étais donc pas mal à l'aise devant la majorité des scènes. Il faut également accepter de voir des scènes où les personnages se font malmener et où certains s'en sortent alors qu'ils devraient être en prison pour la quatrième fois en moins de trois minutes, mais bon… Comme dit plus haut, c'est une histoire qui ne doit pas être prise très au sérieux.
Pour résumer, Playboyy est une série étrange qui tangue sans cesse entre la curiosité et le ridicule. Je ne pense pas l'avoir aimé, mais je ne pense pas l'avoir détesté non plus. C'est un entre-deux bizarre qui me pousse à ne pas recommander cette série, mais à ne pas non plus la condamner. Je pense que chacun réagit de façon différente vis-à-vis d'elle. Essayez et vous verrez ?
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Dead Friend Forever - DFF
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Quête de vérité sanglante pour ce BL horrifique entraînant
Êtes-vous vraiment qui vous prétendez être ? Qu'est-ce qui se cache derrière ce masque ? C'est ce qu'explore DFF avec une bande de potes qui décide de passer un week-end dans les bois. Cependant, les choses ne tardent pas a tourner au vinaigre. DFF traite de sujets sensibles (harcèlement, manipulation, abus...) et contient également des scènes graphiques qui peuvent heurter les plus sensibles. Naturellement, il est déconseillé aux personnes qui n'aiment pas l'horreur.J'ai adoré cette histoire. Dès le début, DFF plante son décor et ses personnages. On fait rapidement la connaissance de chacun, tandis que les premiers problèmes surviennent. Bien sûr, certaines choses sont un peu tirées par les cheveux, mais je ne m'en suis pas soucié plus que de raison, simplement parce que tout est bien fait. J'adore le fait de reprendre les codes du slasher et d'utiliser le found footage (un style prisé dans l'horreur) pour créer une tension supplémentaire et surtout donner au téléspectateur une place dans l'action.
Le casting est excellent. Je ne vais pas m'attarder sur chacun d'eux (ce serait bien trop long), cependant, ils ont dépeint des personnages réalistes, dont purement détestables pour certains. C'est un groupe de potes et pourtant, je n'ai pas cessé de me demander pour ils l'étaient. C'est une dynamique étrange qui alimente la machine à questions et suppositions.
La romance (Tee & White) n'est pas qu'un accessoire avec un couple mignon qui fricotte. Elle possède un rôle dans l'histoire, tant sur son développement que sur nos propres réflexions qu'elle engendre. Voir ce couple adorable être malmené est terrible, mais cela devient que plus douloureux lorsque les masques finissent par tomber.
L'autre romance connaît un certain intérêt et est intéressante dans la façon (et la raison) dont elle se développe.
Si vous avez une appétence pour les films d'horreur, alors la fin ne vous surprendra pas. C'est une fin intéressante qui rappelle un bon film du genre. Après tout, peut-être que la légende de Janta est réelle. Peut-être qu'elle existe et qu'ils l'ignorent. Qui sait...
Cette suspension, cette réalité qui ne l'est peut-être pas, ce mystère quant au fait que tout soit terminé ou pas, c'est une fin que j'apprécie bien qu'elle ne soit pas au goût de tous (et c'est normal).
Si vous regardez DFF uniquement pour l'aspect BL, il ne vous plaira probablement pas. Il mérite bien plus que cette seule étiquette. Cela reviendrait au fait de cantonner KP à un simple BL mafieux ou 4 Minutes à un BL jouant avec des espaces temps. Encore une fois, je ne suis personne pour donner une leçon sur la façon de voir une histoire ou de l'apprécier, mais parfois, j'aimerais vraiment que les téléspectateurs qui aiment le BL voient plus loin. Cela permettrait à des productions comme celles mentionnées de perdurer et de motiver d'autres boîtes de production afin de fournir des scénarios nouveaux. Be On Cloud ne fait pas du BL pour du BL, et bon sang que c'est bon !
Bref, j'ai adoré chaque épisode de Dead Friend Forever. Tant pour la mise en scène et son ambiance que son scénario simple et bien amené avec cette pointe d'horreur. Le casting a fait un travail formidable, tandis que la musique a fini de sublimer le tout.
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I’m writing my review in advance and will add missing elements later. Well, this is my second drama about reincarnation.It’s an interesting topic; I like the idea of eternal love and love beyond gender.
Now, the story: it’s shaky, the characters lack logic and common sense. The plot is extremely simple and predictable. The villains are just evil, with no depth. You could say that if you’re looking for a bit of originality, it might be fine, but if you want a deep story, you’ll be disappointed.
The actors are all quite good, although I find the fight scenes to be rather poor. However, since San is not a fighter, it’s understandable.
The characters are generally likable, but I have a huge issue with the young niece, whom I find very intrusive! I wanted to tell her to be quiet and mind her own business.
6/10
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Meet You at the Blossom
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Honestly, if they're going to make adaptations that trivialize and romanticize rape, I'd rather watch a censored Chinese adaptation. At least there's quality in the adaptation and no disturbing scenes. It's simply disgusting that this drama gets a high rating of 8 with a romanticized rape! Wake up!The rest is cheap... the costumes, the fights, the makeup...
They should have let China do it. I'd prefer a hinted romance over a nauseating one.
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