Park Moo Jin et Kang In Ha sont un couple marié. Park Moo Jin est professeur de lycée et Kang In Ha dirige une boulangerie. Leurs jours paisibles sont rapidement ébranlés lorsque leur fils est gravement blessé à cause de la violence à l'école. Park Moo Jin et Kang In Ha tentent de révéler la vérité sur l'intimidation à l'école. À l'autre bout du spectre se trouvent Oh Jin Pyo et Seo Eun Joo, qui forment un couple riche et puissant. Oh Jin Pyo est le président d'une fondation scolaire privée, dont il a hérité de sa famille. Ils n'ont jamais connu l'échec. Ils ne manquent de rien hormis ce fils fauteur de troubles, qui est un véritable tyran. Quoi qu'il en soit, ils ne reculeront devant rien pour couvrir les crimes de leur enfant. (Source: Viki) Modifier la traduction
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- Titre original: 아름다운 세상
- Aussi connu sous le nom de: Areumdaun Sesang , Areumdawoon Sesang , A Beautiful World
- Scénariste: Kim Ji Woo
- Réalisateur: Park Chan Hong
- Genres: Thriller, Mystère, Vie quotidienne, Mélodrame
Distribution et équipes
- Park Hee SoonPark Moo JinRôle principal
- Choo Ja HyunKang In HaRôle principal
- Oh Man Suk Rôle principal
- Cho Yeo JungSeo Eun JuRôle principal
- Nam Da ReumPark Sun HoRôle principal
- Kim Hwan HeePark Soo HoRôle principal
Critiques
Le problème dramatique et malheureusement si véridique du harcèlement scolaire...
Beaucoup aimé, vraiment très bon drama !L’histoire part d’un fait-divers trop banal, le suicide éventuel d’un adolescent. Puis le drama se déroule sur deux lignes entrecroisées : le séisme qu’un tel évènement provoque dans la famille et l’entourage, et la recherche acharnée de la vérité par les parents du jeune garçon.
Ceux-ci refusent absolument la thèse du suicide causé par le stress des notes, mais cette thèse arrange beaucoup de monde : l’école qui ne cherche qu’une seule chose : pas de vague ! (on connaît tous bien ce phénomène ! ) et les autres parents qui trouvent cela plus simple que de courir le risque d’impliquer leurs propres enfants.
La peinture du désespoir indicible de la famille est profondément juste, la sidération, les larmes, et le refus, la colère… La lâcheté de l’organisation de l’école et des autres parents, l’impuissance du professeur principal, les mains liées de la police, tout cela est parfaitement mis en scène. C’est la volonté acharnée des parents de vouloir comprendre qui sera la plus forte.
Au fur et à mesure de l’avancée de l’enquête des voiles se déchirent, des vérités affreuses sont révélées. Cet évènement va obliger certains à revoir leur vie, d’autres à remettre en question leur profession d’enseignants, et va amener à des prises de conscience : « il voulait me parler, je ne l’ai pas rappelé..; » « Il allait mal et ne m’a rien dit, et je croyais qu’il me faisait confiance… » « je n’ai rien su voir… » Pourtant on aimerait tous avoir (ou avoir été) des parents comme ceux de Seon Ho !
En face, le Directeur, sa femme et son fils opposent la vision d’une famille où seuls comptent les notes, la réussite, le rang social. Les deux mères se trouvent toutes deux en face d’un drame impliquant leur fils, toutes les deux prêtes tout pour le sauver, mais la différence réside en la façon d’appréhender le problème. Comme le dit le père de Seon Ho à un de ses élèves « nous faisons tous des bêtises, ce qui compte c’est ce qui se passe après, et comment on y fait face » . Le drama fait la démonstration de ce que la peur et les préjugés peuvent entraîner comme terribles évènements, sans vrai manichéisme, pourtant, on n’oublie pas qu’on a affaire à de simples humains…
La réalisation est très soignée et étudiée : la maison qui sert de décor à la famille du directeur est très vastes, sur plusieurs niveaux, avec beaucoup de cloisons percées de verrières de différentes formes. Les personnages évoluent dans cet aquarium toujours derrière des vitres biseautées qui dédoublent l’image, ou derrières des encadrements de vitres qui les mettent constamment comme en prison derrière des barreaux… Très souvent les acteurs se trouvent dans des pièces très vastes, au plafond bas, avec une profondeur de champ qui les écrase… Les personnages sont souvent filmés de loin… Cette mise en scène accentue la sensation de prise dans un labyrinthe . Il y a peu d’extérieurs, ou ce sont des scènes de rues avec beaucoup de monde, ou enfermés dans une voiture qui roule vite…
La fin, on ne l’aurait pas voulue autre, même si, à strictement parler, elle n’est pas très vraisemblable… l’évolution est trop rapide… mais je veux pas la spoiler !
Au total j’ai été passionnée par ce drama, que je n’ai pas lâché. Les acteurs sont très bons, particulièrement le père (Park Hee Soon)et la mère de Seon Ho(Choo Ja Hyung), et aussi sa sœur (j’avais remarquée la jeune actrice Kim Hwan Hee dans « when the weather is fine » !) Nam Da reum, déjà une longue filmographie pour son jeune âge, est excellent, comme toujours ! Les parents adverses (si je puis dire !) sont aussi parfaits. On reconnaîtra l’épouse bourgeoise de « Parasite » Cho Yeo Jeong, et Oh Man Seok est glaçant de certitudes d’impunité et de supériorité sociale.
Un mot pour la très belle OST, un peu répétitive, mais on est en Corée ! La belle chanson revient souvent, mais rarement en entier, juste une bout de mélodie, et comme il n’y a pas les paroles sur mon téléchargement, c’est parfait !
The life of this drama lay within the situation it had created that allowed the writer to explore the helplessness that is integral to human nature. It discussed how environments shape people, how parents shape children, and how the basic instinct to protect your offspring can have far-reaching consequences. It did not limit itself to calling bullies the scum of the earth, and unfolded their domestic situations and personalities. It depicted many kinds of bullies: one doing it for pleasure, one doing it under pressure, one attacking what they cannot have, and one acting as a bystander. There were also those who redeemed themselves and those that went on with life. Moreover, the relationships the writer had drawn were really heartfelt. My favourite was Moo Jin and his student Dong Soo's consideration for each other. The side stories and characters had a purpose, either acting as an insight into the characters or served to help them grow. Not to mention, I became attached to them, and so will any viewer, I am sure, especially to Dong Hee and Dong Soo.
This drama happens to be one of the rare cases where flashbacks did not become an intrusion because the transitions from present to past and back again were edited nicely. The imagery was great as well, for example: Joon Seok lived in a glass-like house, very telling of the prison-like environment imposed upon him 24/7, and then there was the warmth of Seon Ho’s home. The reference to The Catcher in the Rye was befitting to the topic at hand.
The pacing could be painstakingly slow at times, but it’s a melodrama, so it is a given. I think the writer could have stretched the show to two more episodes to cover the aftermath in a better way, or the given time should have been used more efficiently by cutting out repeated moments and adding in those worthy of being shown. I think Joon Seok’s redemption and new-found friendship with Dong Soo had great power and should have been explored further. Had Seon Ho gained consciousness earlier, the writer could have effectively handled this and could have made it a better story. Aside from that, there were a few questions they never answered, like Seon Ho’s password. I also noticed how the police felt a tad unprofessional with the way they treated the case earlier on.
Joon Seok was one of the most complex characters in the whole show, and I applaud the actor for bringing him to life; I went from hating him to feeling sorry for him till finally wanting a better life for him. The child actors did a brilliant job at their roles, and so did the adults.
The OSTs were soft and very pleasant to the ears, despite the tears they resulted in. I think they will go to my playlist. One of them, however, was a hip-hop sound and would have felt out of place had they used it as BGM, which they thankfully did not. Overall, a sensible choice of background score.
I don’t think this will be one in my rewatch list, mostly because it is a melo and I get impatient easily. However, a few moments tugged at my heartstrings and had great power in their subtlety so I might return to them.