La série raconte l'histoire d'une femme qui se souvient de ses vies passées en répétant la mort et la réincarnation pendant 600 ans, et un homme qui ne peut ni tuer ni être tué et qui vit depuis 600 ans en tant que Bulgasal, une créature mythique qui se nourrit d'êtres humains. sang et est maudit d'immortalité. (Source: Laskie de MyDramaList) Modifier la traduction
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- Titre original: 불가살
- Aussi connu sous le nom de: Bulgasal
- Scénariste: Seo Jae Won, Kwon So Ra
- Réalisateur: Jang Young Woo
- Genres: Thriller, Mystère, Drame, Fantastique
Distribution et équipes
- Lee Jin WookDan Hwal | BulgasalRôle principal
- NaraMin Sang Un | Kim Hwa Yeon | BulgasalRôle principal
- Lee JoonOk Eul TaeRôle principal
- Gong Seung YeonMin Shi Ho | Dan Sol | [Adopted daughter]Rôle principal
- Jung Jin YoungKwon Ho Yeol | Dan Geuk [Dan Sol's father] | [Warlord]Rôle Secondaire
- Woo SeokNam Do Yoon [Student] | [Adopted son]Rôle Secondaire
Critiques
Cette critique peut contenir des spoilers
Une incroyable fresque poétique
Je vais prendre à contre-courant la rivière des pensées, des ressentis et des conclusions de bien d’autres. J’ai perçu ce drama, cette merveille, de manière très différente et c’est l’une des raisons pour laquelle j’écris cette critique aujourd’hui. Pour offrir un autre point de vue et peut-être, une autre explication.Nos émotions et nos vécus conditionnent la manière dont nous percevons les choses. C’est probablement l’une des raisons pour lesquelles le public est si déchiré vis-à-vis de cette histoire qui, à mes yeux, est avant tout une histoire d’amour.
Car oui, Bulgasal est avant tout une histoire d’amour. Celle d’un couple dont les blessures ont influé 1000 ans de chagrins et de malédictions.
Je vais commencer par parler du personnage principal, Dan Hwal, dont la personnalité, les blessures et l’interprétation m’ont bouleversée. Pour moi, il est – et de loin – le personnage le plus difficile à interpréter de par sa complexité émotionnelle. De polarité Yin, Hwal est un être qui intériorise toutes ses émotions, tant pour les dissimuler au monde qu’à lui-même. Pour survivre, il n’a d’autre choix que de renier tout ce qu’il peut ressentir et ce jusqu’à présenter le visage de la mort elle-même. Car, et pendant six cents ans, Hwal est mort de l’intérieur. Cela se traduit par son regard éteint et cette maison décrite comme celle d’un fantôme. Hwal n’existe pas. Dans ses émotions, dans ses pensées, dans son habitation. Il est là sans l’être. Seule la vengeance l’anime car il n’a que ça. Jusqu’à sa rencontre avec Min-Sung, qui lui insuffle tout doucement la vie, ce qu’illustre parfaitement non seulement le regard de Lee Jin-Wook mais également la maison qui s’illumine petit à petit. La vie y revient car lui-même reprend vie. D’abord par la colère, puis par l’affection et enfin par l’amour. Le drama s’articule entièrement autour de ses émotions et de ses pensées. Et l’acteur … que je ne connaissais pas avant, le montre si bien par sa gestuelle et ce regard qui dit tant de choses ! On le voit tout doucement s’épanouir, par petites touches. Alors oui, le processus est lent mais après six cents ans, n’est-ce pas normal ? Et n’est-ce pas là toute la beauté de la chose ? De voir cet être, qui a tant souffert, revivre ? Ou devrais-je même dire ressusciter ?
J’ai pu lire que beaucoup regrettaient les scènes familiales, pour eux peu utiles et préjudiciables au rythme. Une nouvelle fois, je me permets de signaler mon désaccord. Elles sont pour moi essentielles car elles illustrent le chemin de Hwal qui, d’un être animée par la haine et la vengeance, s’est mué en un être prêt à aimer. Car Bulgasal n’est pas une histoire de vengeance, elle est l’histoire d’un être différent, d’un « monstre » méfiant envers les humains, qui apprend à pardonner, à aimer et à être lui-même humain. Sans ces scènes, la fin et l’histoire elle-même perd de son sens car elles sont essentielles au choix et au cheminement. Elles sont au cœur de l’histoire.
Ce cheminement, cet éveil à l’amour est symbolisé par son histoire avec l’héroïne, sa moitié d’âme et de cœur. Ces deux êtres sont nés ensemble. Ils sont les deux moitiés d’une même âme, raison pour laquelle on ne peut les tuer. Car, et oui, Eul-Tae le dit lui-même à Hwal, les Bulgasals ne sont pas immortels parce qu’ils n’ont pas d’âmes mais parce qu’ils sont jumeaux. Et c’est l’une des deux raisons pour lesquelles Min-Sung se réincarne dans deux jumelles au début de l’histoire. Pour illustrer la réalité derrière les Bulgasals. Ils partagent leurs âmes. Ils sont donc tout l’un pour l’autre. Néanmoins, Min-Sung a compris avant Hwal, qu’elle avait assez de place dans son cœur pour les humains et l’homme de sa vie, là où Hwal a fait d’elle son univers tout entier au point de renier jusqu’à l’existence, non seulement d’autrui, mais de lui-même. Min-Sung avait un cœur humain là où lui en refusait même la possibilité. De polarité Yang, elle était déjà tournée vers les autres il y a 1000 ans. Néanmoins, elle a fait ses propres erreurs et le drama retrace également son apprentissage vers l’équilibre. Elle n’avait pas à choisir. Aussi, et alors qu’elle l’a « abandonnée » 1000 ans plus tôt, elle n’a pas refait la même erreur dans le présent. On la voit en effet, et à nouveau, partir avec Si-Ho et Do-Yoon dans le présent – et donc délaisser Hwal – avant de faire demi-tour pour aller le retrouver. Cette scène, où elle l’empêche de se poignarder, où elle est là pour partager sa douleur, symbolise l’équilibre retrouvée. D’un impact ahurissant, elle illustre le chemin de l’héroïne vers son propre retour vers elle-même et vers lui. Car Hwal et Min-Sung ne font qu’un. Ils avaient donc tous deux à apprendre pour pouvoir se retrouver.
Il y aurait énormément de choses à dire et à analyser sur ce drama, mais je vais arrêter ma propre passion ici pour parler du troisième élément essentiel de l’histoire, Ok Eul-Tae.
Lee Joon est la raison première pour laquelle j’ai regardé Bulgasal car il est un acteur que je suis depuis longtemps. Son jeu est, une nouvelle fois, impeccable pour un personnage qui représente à la fois le côté monstrueux et coloré de la série. Je pense d’ailleurs, que ses côtés comiques et attendrissants ont été les raisons pour lesquelles il a tant plu au public. Pour ma part, j’ai trouvé le personnage un peu superficiel et classique. En effet, il est l’enfant malheureux et fragile, en manque d’amour, qui souhaite exister en devenant puissant et immortel. Son côté le plus intéressant était son admiration, son amour même, pour Hwal, qui représentait à la fois le père, le frère, et le mentor. Au final, on peut dire qu’Ok Eul-Tae a fait le chemin en sens inverse du héros car il a fait de Hwal – et du Bulgasal – son univers tout entier jusqu’à s’oublier lui-même, c’est-à-dire jusqu’à oublier son humanité. C’est cette facette que j’aurais aimé voir un peu plus développer car elle donnait un peu plus d’essence au personnage de Ok Eul-Tae qui, et autrement, voulait seulement se débarrasser, non pas de l’héroïne, mais de lui-même en détruisant son âme. Quoique, on pourrait dire qu’il voulait également la faire disparaître, car elle représentait l’obstacle entre lui et Hwal, et surtout, l’obstacle entre Hwal et sa déshumanité puisqu’elle est son Amour, et donc sa lumière.
J’ai adoré les personnages secondaires, adoré leurs rôles et leurs implications dans l’histoire. Coup de cœur pour le personnage du père, dont la force m’a impressionnée. Je l’ai trouvé très touchant, voir même bouleversant, dans sa relation avec Hwal et les autres. J’ai d’ailleurs été particulièrement touchée qu’il soit celui qui demande à Hwal de rester humain à tout prix avant d’être celui qui, en premier, lui donne son sang pour l’aider à survivre. J’espère, et je veux croire, que Hwal se soit d’ailleurs réincarné en son fis dans sa nouvelle vie.
Hye-Sok était très attachante et mystérieuse, Shi-Ho était adorable et Do Yoon …. Ah Do-Yoon … que j’ai aimé sa relation maladroite avec Hwal.
Les acteurs étaient tous incroyables. J’aurais tant à dire, tant à féliciter, tant à remercier. Je réitère mon incroyable coup de cœur pour Lee Jin Wook, à l’interprétation fabuleuse.
Je voudrais revenir sur la fin du drama, que beaucoup n’ont pas compris. Une nouvelle fois, les Bulgasals n’étaient pas immortels car ils n’avaient pas d’âme mais parce qu’ils la partageaient. Lorsque Hwal s’est sacrifié en se tuant avec Ok Eul-Tae, il a mis fin à un cercle vicieux auquel il a donné naissance 1000 ans plus tôt, lorsqu’il a donné une moitié de lui-même, son immortalité, à Eul-Tae. C’est d’ailleurs la raison, je pense, pour laquelle Hwal et Min-Sung étaient différents, même humains. Ils possédaient une force différente, comme si l’un et l’autre étaient toujours Bulgasal malgré leurs mortalités. C’est aussi la raison pour laquelle Eul-Tae tenait absolument à détruire son âme – et Min-Sung – pour devenir un vrai Bulgasal et ainsi être réellement puissant, car sa fragilité et son humanité passée étaient illustrés par son trou noir. Lorsque Hwal et Eul-Tae sont morts, les « Bulgasals » ont disparus. Si Hwal avait survécu, je pense que Min-Sung serait également restée en vie. Mais son côté Bulgasal étant également mort en même temps que celui des deux autres, elle est morte complètement humaine et ce pour la première fois. Hwal s’est réincarnée car il a récupéré son âme, celle donnée à Eul-Tae en échange de la sienne, et Min-Sung s’est réincarnée avec l’âme de Eul-Tae, celle que lui-même n’a pas réussi à détruire une huitième fois (raison pour laquelle il avait tant besoin de Hwal. Il avait d’ailleurs précisé que s’il refusait de la détruire, il la tuerait encore et encore indéfiniment jusqu’à ce qu’il se décide, preuve qu’elle pouvait se réincarner comme elle le désirait).
Autre théorie, Min-Sung s’est réincarnée avec la même âme que Hwal, celle des jumeaux Bulgasals de départ, tandis qu’Eul-Tae a récupéré la sienne et a recommencé quelque part sa propre vie d’humain.
J’aurais des dizaines de milliers de choses à dire mais je vais m’arrêter là pour ne pas en faire un pavé de dizaines de milliers de lignes. Merci, simplement, pour m’avoir fait rêver, pleurer et rêver – et un grand merci à Jin-Wook et Nara, pour avoir magnifiquement illustré cette histoire d’amour qui, au-delà d’une histoire de cœur, est une histoire d’âme.
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Un bon début....
Profitant d'une pause forcée dans mon visionnage de "Love Like The Galaxy", drama qui me tenait éveillé tant par les qualités de l'écriture que du jeu des acteurs, et d'une déception inattendue avec "Alchemy of souls" tant par la qualité de la réalisation que par le jeu des acteurs, me voilà à me contenter par dépit d'un drama qui faisait pourtant de ma watch-list.Ce fut pourtant une assez bonne surprise avec un lot de rebondissement fort appréciable durant la première partie.
Etant un peu paresseuse ces derniers temps, je vais me contenter d'un format court : les points positifs et points négatifs.
Commençons par les aspects du drama qui aura su éveiller mon intérêt :
* Le scénario : Au premier regard, un scénario simple où un immortel se doit de retrouver celle par qui le malheur est arrivé afin d'en tirer vengeance et par la même occasion, récupérer son dû. Les épisodes s'enchaînent rapidement et à notre étonnement, le scénario s'étoffe au fur et à mesure apportant au détour d'un épisode des rebondissements auxquels je n'étais certes pas préparée. Très vite le doute s'installe, que cela soit pour les protagonistes ou pour nous simple spectateur impuissant. Qui est qui, qui a fait quoi? Ce fut un délice de se torturer les méninges afin d'en deviner les tenants de l'histoire. J'avoue que cela fait du bien, une fois n'est pas coutume, ce que l'on croit n'est pas et ce que l'on pense n'est aussi pas. Les faiblesses et incohérences apparaissent rapidement dans le scénario et notamment dans l'explication des faits passés, ce qui fait partie des points négatifs. Des explications qui n'en sont pas et qui nous laisse un goût amer, spécialement à la fin.
* L'écriture des personnages : C'est ici un des points forts du drama. Les personnages secondaires ici ont une existence réelle et une histoire, vieille de plusieurs années, qui donnent une profondeur certaine à chacun d'entre eux, nous obligeant à nous attacher à certain d'entre eux, de compatir et de comprendre leurs actions. Le personnage qui m'aura le plus attendri et le plus inattendu fut sans aucun doute Lee Hye Suk. Sa tirade à Dan Hwal lorsqu'il décide de "mourir" ou la scène où Hwal se souvient des étapes de sa vie avec elle furent d'une sincérité incroyable et m'aura prise par surprise (entendez par là, me faire pleurer). Sa relation avec Hwal fut une des plus belles découvertes de ce drama, car si on s'y attend plus ou moins avec les autres protagonistes, avec Lee Hye Suk, cela fut moins évident, leur passé tumultueux ne les y prédisposait pas réellement.... Mais pour être franche, dans ce drama, mes personnages préférés ont été les protagonistes secondaire et aussi....
Et Ok Eul Tae?? J'adore tout simplement quand le vilain, l'antagoniste de l'histoire est tout sauf classique ou prévisible! Ce personnage sanguinaire est tout sauf simple. Sa relation complexe avec Hwal ou attendrissante avec Do Yoon a réussi à le rendre attachant. J'oserai même dire que je n'ai pas su à le condamner. Malgré ses mauvaises actions. Cela ne veut-il pas dire que le scénariste a réussi à nous le rendre vivant, humain sur certains aspects? Sa solitude et son désespoir étaient loin d'être feintes, et j'avoue avoir regretté la tournure qu'ont pris les épisodes après son affrontement ,avec Hwal à la fin du drama....
* Le folklore du drama était intéressant bien que moins riche que l'univers "d'Inuyasha" par exemple. J'ai apprécié cet univers sombre où ces monstres vivent parmi nous (Je l'ai pris un peu comme une allégorie). Les scènes ont été parfois visuellement sanglantes mais supportable. Je suis assez sensible à cela et ici, il n'y avait pas de profusion de sang et de découpage des membres à tir larigot, juste ce qu'il faut pour nous permettre d'adhérer à cet univers sombre sans nous faire fuir. Il fut intéressant de faire des recherches sur les monstres présents afin d'en apprendre un peu plus comme la Dueoksini. Ma culture s'est un peu étoffée haha et ne s'arrête plus à Gumiho.
* La bande son! L'OST colle bien à l'ambiance du drama apportant une intensité accrue durant les scènes à forte tension. Une de mes préférées fut "Leave" de 4men, chaque parole, chaque note nous plongent dans un océan de souffrance et d'espoir. Ou "Ea Flo" de Kim Kyun Hee aux accents intemporels. Et "Penetrates coldly pain", le titre n'a pas besoin d'explication n'est ce pas? N'hésitez donc pas à écouter la bande son.
* La philosophie derrière cette histoire de réincarnation. J'ai apprécié cette vision qui tente de nous démontrer que nos vies passées (s'il y a ), que cela soit nos mauvaises actions ou bonnes, ne conditionnent pas forcément ce qu'on sera dans notre future vie.
Les points négatifs? Hé bien, il faut avouer qu'il y'en a pas mal....
* Les sous-titres en français..... Je ne devrais même plus y prêter attention sauf, que cela a encore le don de me faire grincer des dents. Au-delà des fautes de français (bien moins présent ici je dois le reconnaître), c'est encore le manque de respect de la langue et les incohérences liés à la fainéantise du traducteur qui m'horripile. Est-il donc si difficile de traduire "Ma tante" plutôt que "Mme Lee" qui au final ne traduit pas du tout l'affection que les protagonistes pouvaient avoir à son égard. Il me semble jusqu'aux dernières nouvelles que "ma tante" ou "tata" ou "tatie" sont bien des mots que l'on retrouve dans notre dictionnaire et compréhensible aux yeux des français.... C'est bien entendu un exemple parmi tant d'autres... Heureusement qu'apprendre le coréen ne passera point par un drama traduit sur netflix ou par un traducteur incompétent.
* La lenteur de la deuxième partie....si le début démarre sur les chapeaux de roue et que l'intrigue nous tient en haleine pendant la moitié du drama, les derniers épisodes tirent en longueur et tournent un peu en rond. S'enchainent alors des dialogues sonnant comme une leitmotiv, des répliques qui n'ont qu'unique ambition celui de vous permettre de vous apitoyer sur le sort des protagonistes.... J'ai été tenté plus d'une fois de faire "avance-rapide". Le dernier épisode a été le summum de ce défaut, où flash back inutile et dialogue vu et revu se côtoient joyeusement pendant plus d'une heure....
* les "non dits" si classique. Je ne comprend toujours pas pourquoi dans les dramas, il est courant de maintenir les malentendus, les "je ne lui dirai rien, je garde tout pour moi" par peur de le froisser, par manque de confiance ou autres fumeuses raisons. Ce sont ces "non dit" qui alimente une psychose inutile et nous donne envie (souvent) de secouer les protagonistes....
* Bien que la relation entre nos deux protagonistes aient été intéressantes à voir, je trouve que l'alchimie n'a pas été mémorable. Je n'ai en tout cas pas ressenti d'émotion à les voir ensemble. Question de sensibilité encore. Ne vous attendez pas à une relation complexe et riche entre eux deux. Bien sûr grâce à l'intrigue, leur rôle nous permette de nous poser des interrogations qui maintiennent notre envie de connaître la suite, mais sans l'univers, sans les personnages autour d'eux et sans Ok Eul Tae, ils n'auraient eu au final aucun intérêt.
* Je pense que les conflits avec les monstres ont parfois manqués de "suspense angoissante". Il n'y avait pas assez de "Oh mon dieu, que va-t-il se passer". Et, une chose m'a dérangé. Cette représentation du monstre sanguinaire qui tue sans pitié", avec pour seul raison un instinct animal.....c'est dommage que le scénariste n'ait pas voulu ou eu la possibilité de nous montrer pour quelle raison ces monstres en venaient à tuer. Ils n'ont aucune histoire, ni avant, ni après. Ils ne sont ici que pour permettre à participer à cet univers sanglant et à donner une raison à Hwal à sauver Min Sang Un et donc à les rapprocher.
* Les incohérences de scénario qui gâchent presque tout.... Par exemple, la malédiction du Bulgasal qui dit que Si-Ho ne mettra au monde que des nouveaux-nés morts, alors que 600 ans plus tôt, elle a eu un enfant avec Hwal....Ou cette obsession de Ok Eul Tae alors qu'il ne parlera qu'avec Hwal que 30 secondes...Ce sont des exemples parmi tant d'autres.
C'est donc un drama qui plutôt intéressant, gardant notre intérêt éveillé pendant les 9 premiers épisodes mais qui n'a pas su garder ce même dynamisme durant la seconde partie du drama.
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