La vengeance, encore et toujours la vangeance...
Avis mitigé !!
D’une part intéressante approche de la justice (enquêtes et procès) du point de vue des crimes « contre enfants et femmes » ce que je trouve déjà une drôle de dénomination couvrant les agressions, les viols et la maltraitance des enfants, mais c’est peut-être la traduction ! Cette approche est rare dans le panorama judiciaire des dramas, plutôt consacré à la corruption politique et industrielle. D’ailleurs, ici, les crimes sexuels du départ dérivent encore vers cette même corruption politique. J’attends de voir un drama coréen où un homme passerait en jugement parce qu’il aurait cogné sa femme ! Mais revenons à notre Sorcière au tribunal !
Et là est mon gros point noir : j’ai détesté de bout en bout cette femme, égoïste, dure, n’écoutant personne, souvent méchante, et le traumatisme de l’enfance n’excuse pas tout, bien qu’il l’explique plutôt bien !
Ce que je n’ai pas aimé non plus c’est que tout le scénario est construit exclusivement autour d’elle, tous les autres ne servant finalement que de faire-valoir. Les autres personnages sont très peu exploités, ils ne servent qu’à permettre à Ma Yi Deum de faire son numéro.
Le pauvre Yoon Hyun Min, heureusement que j’ai eu l’occasion de le voir excellent ailleurs, ici il est transparent, et d’ailleurs il ne semble pas croire plus que ça à ce qu’il fait, son texte ne sert pratiquement qu’à permettre à Ma Yi Deum de l’envoyer promener, ou l’humilier.
Jeon Kang Leol, le très méchant, n’avait pas non plus l’air très convaincant, en fait il était assez mauvais. Bref, vous l’aurez compris, j’ai eu du mal à tenir. Pourquoi je ne l’ai pas abandonné (j’en ai largué des pas pire) ? Parce que justement cette histoire de viols en représailles sur des femmes grévistes, je voulais voir comment ce serait traité.
Malheureusement cet aspect est toujours resté en second plan, comme la procureure chargée de l’affaire, l’excellente Kim Yeo Jin, elle aussi réduite à l’état d’un second rôle falot… Quant à la fin, elle m’a laissée complètement sur ma faim : qu’en est-il de la mère de Yeo Ji Woo ? et le procès de l’ordure à la base de tout est bâclé en quelques dizaines de minutes. Je me suis demandé pourquoi ce drama avait été écrit : pas pour la justice sur les crimes sexuels dont on ne sait pas grand chose, mais uniquement autour de Ma Yi Deum et sa vengeance…
Je ne le conseille pas, mais si vous aimez Jung Ryeo Won et son immense talent pour jouer les emm……euses, allez-y vous ne serez pas déçu-e-s !
D’une part intéressante approche de la justice (enquêtes et procès) du point de vue des crimes « contre enfants et femmes » ce que je trouve déjà une drôle de dénomination couvrant les agressions, les viols et la maltraitance des enfants, mais c’est peut-être la traduction ! Cette approche est rare dans le panorama judiciaire des dramas, plutôt consacré à la corruption politique et industrielle. D’ailleurs, ici, les crimes sexuels du départ dérivent encore vers cette même corruption politique. J’attends de voir un drama coréen où un homme passerait en jugement parce qu’il aurait cogné sa femme ! Mais revenons à notre Sorcière au tribunal !
Et là est mon gros point noir : j’ai détesté de bout en bout cette femme, égoïste, dure, n’écoutant personne, souvent méchante, et le traumatisme de l’enfance n’excuse pas tout, bien qu’il l’explique plutôt bien !
Ce que je n’ai pas aimé non plus c’est que tout le scénario est construit exclusivement autour d’elle, tous les autres ne servant finalement que de faire-valoir. Les autres personnages sont très peu exploités, ils ne servent qu’à permettre à Ma Yi Deum de faire son numéro.
Le pauvre Yoon Hyun Min, heureusement que j’ai eu l’occasion de le voir excellent ailleurs, ici il est transparent, et d’ailleurs il ne semble pas croire plus que ça à ce qu’il fait, son texte ne sert pratiquement qu’à permettre à Ma Yi Deum de l’envoyer promener, ou l’humilier.
Jeon Kang Leol, le très méchant, n’avait pas non plus l’air très convaincant, en fait il était assez mauvais. Bref, vous l’aurez compris, j’ai eu du mal à tenir. Pourquoi je ne l’ai pas abandonné (j’en ai largué des pas pire) ? Parce que justement cette histoire de viols en représailles sur des femmes grévistes, je voulais voir comment ce serait traité.
Malheureusement cet aspect est toujours resté en second plan, comme la procureure chargée de l’affaire, l’excellente Kim Yeo Jin, elle aussi réduite à l’état d’un second rôle falot… Quant à la fin, elle m’a laissée complètement sur ma faim : qu’en est-il de la mère de Yeo Ji Woo ? et le procès de l’ordure à la base de tout est bâclé en quelques dizaines de minutes. Je me suis demandé pourquoi ce drama avait été écrit : pas pour la justice sur les crimes sexuels dont on ne sait pas grand chose, mais uniquement autour de Ma Yi Deum et sa vengeance…
Je ne le conseille pas, mais si vous aimez Jung Ryeo Won et son immense talent pour jouer les emm……euses, allez-y vous ne serez pas déçu-e-s !
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