L'adolescence se termine, il faut faire des choix, heureusement qu'il y a les amis...
Au premier abord, c’est un school drama basique, mais en fait c’est beaucoup plus fin que ça ! A travers le personnage de Shuji, son rapport avec les autres, l'image qu’il s’est créée délibérément, c’est toute la problématique de l’acceptation de soi qui est en jeu. Pourquoi se sent-il obligé de se cacher derrière ce garçon qui ne lui ressemble pas ? On dirait qu’il n’y a pas de choix entre être populaire à tout prix ou être harcelé ! C’est la tyrannie de l’image que l’on donne !
C’est le contact avec Akira, dont les gestes sont peut-être maladroits, mais dont l’esprit est lucide et qui est un être libre, qui va l’amener à comprendre pourquoi il a fait ce choix. Akira a décidé qu’il était son ami, et il va le soutenir et l’aider à s’affranchir de ce masque. La « production » de Nobuta sera le moyen d’abord inconscient, puis accepté, pour Shuji, de devenir lui-même, qualités et défauts compris.
Les trois personnages se complètent parfaitement au long de ce drama aux dialogues bien écrits, souvent très drôles. Comme souvent chez les Japonais, il y a une pointe de fantastique, un zest de burlesque, et si j’ai aimé la fin par sentimentalité, j’aurais préféré que le drama s’arrête au départ de Shuji, symbole de son nouveau départ dans la vie, sans masque et sans mensonges… Mais, bon, les deux amis jouant dans les vagues à la toute fin, ça fait quand même plaisir ! Les acteurs sont très bons, ainsi que les seconds rôle (la principale bizarre et le libraire qui est aussi prêtre shintô sont deux éléments qui participent à l’ambiance particulière et chaleureuse de ce drama que j’ai revu récemment avec grand plaisir !
C’est le contact avec Akira, dont les gestes sont peut-être maladroits, mais dont l’esprit est lucide et qui est un être libre, qui va l’amener à comprendre pourquoi il a fait ce choix. Akira a décidé qu’il était son ami, et il va le soutenir et l’aider à s’affranchir de ce masque. La « production » de Nobuta sera le moyen d’abord inconscient, puis accepté, pour Shuji, de devenir lui-même, qualités et défauts compris.
Les trois personnages se complètent parfaitement au long de ce drama aux dialogues bien écrits, souvent très drôles. Comme souvent chez les Japonais, il y a une pointe de fantastique, un zest de burlesque, et si j’ai aimé la fin par sentimentalité, j’aurais préféré que le drama s’arrête au départ de Shuji, symbole de son nouveau départ dans la vie, sans masque et sans mensonges… Mais, bon, les deux amis jouant dans les vagues à la toute fin, ça fait quand même plaisir ! Les acteurs sont très bons, ainsi que les seconds rôle (la principale bizarre et le libraire qui est aussi prêtre shintô sont deux éléments qui participent à l’ambiance particulière et chaleureuse de ce drama que j’ai revu récemment avec grand plaisir !
Cet avis était-il utile?