Shining Inheritance (2009)

genre de drama où rien n'est vrai mais où on accroche à tout

"billant legacy"est ce que j'appelle un drama chewing-gum, pas de la grande cuisine mais quand tu as marché dessus tu ne peux plus t'en débarrasser, l’exemple type étant quand même Devil beside you ! ! J'en suis à l'épisode 11 vus, même pas à la moitié, mais je ne peux pas m'empêcher d'y retourner !  Eh bien, ça marche et la mayonnaise finit par prendre !
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Je l’ai terminé à marche forcée, finalement j'ai beaucoup aimé ! (bon il y a aussi LSG et l’effet gniiiiiisant que vous imaginez, mais pas que )
Le démarrage est pénible si je devais le revoir je sauterais au moins les 5 premiers épisodes !! Enfin pas le premier mais les 5 suivants  ! Et au fur et à mesure ça s'améliore, il y a même une certaine recherche dans les personnages qui sont plus nuancés qu'on aurait pu le craindre au début ! Et, mis à part le couple romantique principal, j'adore particulièrement celui très improbable mais bien rigolo formé par la mère du héros et son majordome !!!
Et puis j'aime bien la fin qui met les choses en place sans forcément nous coller un mariage et tout le tralala, et si vous avez la force et la ténacité de tenir 28 épisodes, vous avez là un drama "classique" qui tient la route et qui ne vous posera pas de questions existentielles !
C'est un de ces bon vieux dramas d'avant que les Coréens se mettent à faire des études sociologiques, avec des fringues et des coiffures pas possibles, des situations improbables qui vous scotchent inexplicablement, un de ces "vieux" dramas dont on pourrait avoir la nostalgie de leur fraîcheur naïve, dépaysante et charmante, finalement !
Je me suis cramponnée, voulant voir l’insupportable Khwan changer enfin ! On sentait quand même que l’acteur n'avait pas encore vraiment d'expérience, et ajouté à une écriture de personnage totalement nulle (aucune nuance, aucune profondeur, en tous cas dans les premiers épisodes )on sent la maladresse. Mais dès qu'il commence à réfléchir et à manifester un peu de sentiment, le potentiel est là et bien là !
Bon je vais arrêter de vous bassiner avec Lee Seung Ki, je l'adore, vous l'avez compris ! Et je lui interdit formellement de s'approcher du moindre bistouri !

J'ai l'impression qu'il aura du mal à sortir de ce genre de personnage, enfin, déjà dans "Korean odyssey" il est égoïste et manipulateur, mais c'est un démon, et il est quand même nettement moins gamin que dans Gu... ou Brillant... Ce que j'aime dans ce dernier c'est que même s'il s'améliore nettement du point de vue de la compréhension des autres et de la compassion, il garde son côté rugueux et épineux, il ne devient pas bisounours du jour au lendemain ! D'ailleurs pareil pour l'héroïne, qui est parfaite, mais pas tout à fait tant que ça quand même, quand sa demi/sœur lui dit qu'elle mourra sans Whan, elle lui répond " Crève, je n'en ai rien à faire !" (enfin c'est la traduction de Dramapassion, et j'ai bien l'impression qu'ils prennent de grandes libertés ! )Les sous-titres de Netflix me semblent un peu plus complets par rapport à la durée des paroles, le mieux restant l'anglais quand il est bon où les dialogues sont moins résumés. Mais le français c'est quand même plus confortable !

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Recently I finally learned the meaning of the word "makjang". For those of you who are in the dark as I was, a makjang drama is one where the twists and turns are so over the top, with the hero/ine having to face so much misfortunes and betrayal, the next step is either sanctification or Dante's Inferno. I dare give the word my very personal definition: a drama is makjang, when you wish you could enter the screen and murder half of the characters with your bare hands, then ease on your couch with a sigh of intense satisfaction (drink some soju and you'll have become a makjang character yourself).

Shining Inheritance fits both definitions. There's envy, greed, a dead man walking, 10 trillions lies, missed encounters by a microsecond, corporate plotting, memory loss, love polyhedrons and such a dose of odious behaviours your becoming a virtual assassin would be justified.
But before you decide you hate the genre and turn the page, let me say this drama is strangely and acutely addictive. It took me 4 weeks to pant through the first 7 episodes and less than 1 to watch the remaining 21 (granted, with a little fast forwarding here and there).
The plot is very consistent. Every narrative line comes to a conclusion and justice triumphs. Delicate subjects are touched here, and I appreciated this the most.
I maintain the whole story could have been easily condensed in half the time and the dialogues thinned, if only the characters had stopped repeating the same sentences like an echo and the word money had been uttered one thousand times instead of one billion. There will be moments in which you'll question your choice of dramas, but at that point you'll be so implicated in the crime… ehm, plot, drop it will be harder than exit a gang.

The acting mark is the result of an arithmetic mean. The beginning is not encouraging at all, with exaggerations and wooden deliveries all over the place, but it improves a lot in going. It's as though the actors had been attending Theatre Class while filming. With a notable exception: Yun Joon Suk, who plays the autistic brother, is impressive all through, and makes the drama shine in depth and emotion every time he's on screen.
I'm usually only mildly interested in the cast's attire, unless it's so distracting it prevents me from fully enjoying it or it is integral part of the narrative intent. But grandmother's grey wig - I truly hope it was one - looked so disjointed from her skull I watched all her scenes brandishing a comb. Not that Lee Seung Gi's hairdo was much better: now and then it truly looked like it was about to migrate towards warmer shores. I prayed he would be caught in a sudden downpour to flatten it but, alas!, the sun shone brightly on him. There's improvement in this department too, though, and if you fall for the very pretty main couple, the deed is done.

Two words about the music. I had a hard time coming to terms with the blend of Bach's adagio and K-pop, the first being too solemn and fit to a mass in Latin and the second too… pop. Once again, it's the little brother who saves the score with his very sweet piano piece dedicated to his Noona.

So here's my little piece of advice: watch it. Resist the urge to drop it after the first episode, contain your puzzlement in the second and third, wipe your sweat to the 7th and you'll be hooked. Completing it will give you a sense of power and the feeling you have truly watched The Drama of All Dramas.
What does not kill you, makes you stronger.

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