Complété
achuland
2 personnes ont trouvé cette critique utile
déc. 29, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 0
Globalement 8.0
Histoire 8.0
Acting/Cast 10
Musique 7.0
Degrés de Re-visionnage 7.0
C'est universel. Un premier amour, nous en avons tous connu. Que cela soit en culotte courte ou sur les banc de l'école. Ce battement de coeur désordonné, qui illuminait nos journées, rythmait nos soirée.
C'est l'essence de ce drama. Un premier amour maladroit, touchant et d'une pureté absolue. Ni mystère. Ni rebondissement.
Et pourtant, cela fonctionne. Encore. Et toujours.
On sourit. Des étoiles pleins les yeux. L'histoire touchante de ce premier amour nous émeut. Pas une seule fois, je n'ai douté de la fin de cet amour. Ennuyant? Que nenni,

Le scénario est simple mais astucieusement construit autour d'un enchevêtrement de passé et de présent. C'est redoutablement efficace, permettant au spectateur de suivre simultanément leur hier et le résultat immédiat sur leur présent.
Nous survolons à chaque minute des flashbacks semés tout autour d'eux. L'atmosphère y est donc léger, illuminant l'écran de leur histoire et de leur douleur. Ici, ce n'est pas seulement une question de premier amour mais aussi de choix et de décision qui nous forgent. Les protagonistes suivent ce chemin difficile qu'est la vie et nous serions tenté de penser qu'ils ont pris la mauvaise décision, mais cela serait dénier ces moments où ils ont su construire ou un mariage ou une relation. Bien sûr, parfois, cela ne dure pas. Cela se finit parfois par une rupture. Un divorce. Ces aléas à la vie si nécessaire. Afin d'avancer et de comprendre. La valeur d'un premier amour.
Je crierais pas à l'extraordinaire, pas en ce qui me concerne, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre ce drama. Je n'ai certes pas eu des papillons au ventre ou de coeur en émoi, cependant, la douceur des épisodes m'ont bercé et j'avoue avoir eu une pensée nostalgique à mon premier amour.

Je ne vous cacherai pas que Satoh Takeru est la raison qui m'a mené ici, j'ai pu tout de même apprécié le jeu de Mitsushima Hikari mais surtout de Yagi Rikako et de Kido Taisei. Ils ont su me transmettre leurs émotions à travers un jeu sincère.

Drama léger où est banni toute frustration, nous suivons avec simplicité un amour qui aura duré envers et contre tous.

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clinchamps
1 personnes ont trouvé cette critique utile
mars 2, 2023
9 épisodes vus sur 9
Complété 0
Globalement 7.5
Histoire 7.0
Acting/Cast 8.0
Musique 6.0
Degrés de Re-visionnage 8.5

Romance sans guimauve, personnages réalistes sans noirceur, à consommer sans modération

J'ai toujours trouvé les Japonais très forts dans ce genre d’histoire sans vrais rebondissements, avec seulement la peinture délicate et sensible des sentiments, des états d’âme, et la description toute en nuance de la psychologie des personnages et de leur évolution.

Là, je dois dire que c’est particulièrement réussi ! Si vous voulez un drama doudou (mais pas niais, pas sirupeux, ) avec une maîtrise parfaite des clichés du genre (amnésie, séparation, retrouvailles improbables) qui passent comme crème, comme on dit, il est pour vous. Rien ne semble artificiellement ajouté, ou mis en avant pour créer un faux suspens. Chaque situation s’inscrit dans l’histoire d’une façon parfaitement logique et rationnelle, et même ce que je déteste le plus, le « je t’aime mais je te quitte », est exactement à sa place et justifié par l’intelligence et la générosité du personnage, et non par le souci d’installer un faux rebondissement. 
Le scénario très habile nous transporte sans cesse du passé au présent, de l’adolescence à l’âge adulte,  allant un peu plus en profondeur  à chaque fois. Les ellipses sont toujours très bien placées, n’apportant pas d’explications inutiles suivant l’épouse arrive chez sa mère avec sa valise… On a tout compris, ce qui se passe, et pourquoi ça se passe sans y passer 3 épisodes !! Toutes les pièces se mettent en place peu à peu pour aboutir à la conclusion finale. 
Et la fin !!! Une petite merveille de bonheur ! Je défie quiconque de ne pas avoir un sourire jusqu’aux oreilles à la fin ! 

Je conseille, je conseille !!!! je CONSEILLE ! 

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Enjoy little things
1 personnes ont trouvé cette critique utile
déc. 25, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 0
Globalement 9.0
Histoire 9.0
Acting/Cast 9.0
Musique 9.0
Degrés de Re-visionnage 8.0

Une pépite de douceur

Un des plus beaux dramas japonais que j’ai vu jusqu'à maintenant.
En cette fin d’année et période de fêtes, ce fut une magnifique surprise. Le jeu des acteurs est juste et touchante que ce soit dans les périodes actuelles ou passées. Sato Takeru est toujours aussi bon, et sa compagne à l’écran, que je découvre, est vraiment d’une douceur désarmante. Les acteurs qui jouent leurs rôles plus jeunes sont aussi excellents. L’OST est très belle et en accord avec le drama. L’histoire réserve quelques petits rebondissements, et c’est un concentré de douceur, bien mené et avec un très belle réalisation. On se laisse porter sans difficulté.
A découvrir.

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Titenuite
0 personnes ont trouvé cette critique utile
mars 2, 2023
9 épisodes vus sur 9
Complété 0
Globalement 10
Histoire 10
Acting/Cast 10
Musique 10
Degrés de Re-visionnage 10

Je n'ai jamais autant pleuré de larmes de joie

Je n'ai jamais regardé un drama aussi émouvant, et pourtant j'en déjà regardé pas mal !

Je n'ai jamais autant pleuré devant une œuvre, et ce sont des larmes de joie, tellement la mise en scène et le scénario m'ont permis de m'attacher aux personnages et de ressentir leurs émotions.

Les acteurs sont au sommet de leur art, les musiques sont tellement belles, la photo est magnifique.

Ce drama est une véritable pépite que je conseille absolument pour tout le monde, pas uniquement pour les fans de romances. Je pense que personne ne peut être insensible à cette histoire.

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Kenseiden
0 personnes ont trouvé cette critique utile
avril 19, 2023
9 épisodes vus sur 9
Complété 0
Globalement 8.0
Histoire 7.0
Acting/Cast 9.0
Musique 9.5
Degrés de Re-visionnage 8.0

Émotions trop Automatic

Je ne vais pas m'étendre sur ce blockbuster puisque comme toutes les rares productions japonaises Netflix, les avis en français se déversent comme la pluie au-dessus d'un parapluie d'amoureux. Cependant, je ne pouvais pas m'empêcher de donner mon regard de vieux franchouillard amateur de drama à caractère lacrymale, sur ce très bien noté First Love : Hatsukoi. Dans la grande tradition japonaise de capitaliser sur une œuvre à succès et de changer de support, First Love surfent sur la vague des miniséries adaptées des chansons romantiques. Le Dry flower de Yuri c'en était, d'ailleurs, plutôt bien sortie, en se limitant à 3 courts épisodes et en associant le chanteur. Mais l'exercice est casse-gueule. Surtout avec la tendance sur Netflix de vouloir gommer les particularités japonaises afin de plaire à un maximum de culture. Pourvu que l'expérience ne se développe pas plus. Lemon et son bientôt milliard de vues pourrait bien en faire les frais. Après un premier amour impossible à retrouver, une absence impossible à combler. Et ça n'aurait rien d'Unnatural.

Le choix d'une chanson d'Utada Hikaru n'est donc pas le fruit du hasard, c'est plutôt, qu'elle reste, du haut de ses vingt-cinq ans de carrières, une des stars asiatiques la plus internationale. Par sa jeunesse à New York à sa vie à Londres, sans parler de son style jazzie/R&B/electro, qui s'est fondu dans les productions américaines, comme les sushis en Californie. Bien sûr, elle fait partie de mon Panthéon, pour la voix et le style, et cela, depuis que j'ai des oreilles. Malgré cela, sa présence dans le déroulement de cette série est tellement intrusive, que ça en devient gênant. Mais c'est peut-être uniquement pour ceux qui, comme moi, n'ont pas assisté à la sortie de son premier album. Puisque avant internet, le Japon n'était promu en occident que par les animes. Les publicités à la TV, les affiches énormes dans le Métro ou les airs fredonnés par les acteurs marquent l'époque, mais ressemble à un matraquage plus caractéristique de la nôtre. Cet engouement peut donc paraitre faux pour ceux qui n'ont pas vécu la fin des années 90 au Japon. C'est-à-dire la majorité des spectateurs de cette série. OK, fille d'une célèbre chanteuse et d'un non moins célèbre producteur, son premier album composé par elle-même à seulement 16 ans faisait fit de démonstration de petit singe savant pour les médias et Sony. Ils ont certainement dû à l'époque en faire des caisses, mais là, trop c'est trop. Un peu comme ce commentaire.

En faire des caisses, c'est justement le problème récurrent de la série. Notamment dans les deux premiers épisodes, qui regroupent tous les défauts des séries japonaises Netflix. Passons sur les insupportables placements produits, qui heureusement s'atténuent à partir du 3e. Normal, puisque les marques ne misent que sur un ou deux épisodes, les spectateurs se désintéressant statistiquement des suivants rapidement. Ils dévorent bien, en général, le dernier et cela ne loupe pas, l'industriel revient à la charge. Avec cette fois-ci, un véritable scandale sanitaire quant au choix du produit. Il gâche complètement la tension et les émotions du climax, par une mise en valeur qu'on avait plus vu depuis John Wayne. J'étais moins gêné à voir l'inutile scène érotique, mais tellement indispensable pour Netflix. Et qu'on ne me dise pas : "ce sont les années 90, il n'y avait pas de loi Evin, c'est pour faire réaliste". Le pognon dégouline de la production et il vient bien de quelque part.

Génériques léchés et cinématographiques, tout comme la photographie et le piqué d'image. Celui-ci pourra, d'ailleurs, irriter la rétine lors des flashbacks, par ce grain faussement année 90, qui gâche votre écran 4K. Quelques minutes n'auraient pas gêné, mais plus de la moitié de la série ce passe dans ses années 90-2000, ou même la vie était en 480p. Heureusement la production n'a pas osé le 4/3. La musique, au-delà de l'omniprésence de la diva, est tout aussi à la pointe. Les passages piano solo, ou insert song font mouche et sont dignes des œuvres de la reine des opening. Les effets de caméra, vues plongeantes de drones, scènes aériennes, sont magnifiques, cinématographiques et dégoulinent d'empreintes carbones. On s'inscrit donc dans une très grosse production qui, du coup, rendent gênants les défauts qui n'avaient pas lieu d'être.

Si le perso de Namiki Harumichi, joué par Sato Takeru et Kido Taisei peut sembler cohérent physiquement (et encore) et cohérent dans le jeu, celui de Noguchi Yae agresse notre bon sens à chaque switch temporel. Et cela devient rapidement gênant au vu du parti pris de dévoiler les événements au fur et à mesure de l'avancée en parallèle des deux histoires. D'où ce choix, entre autre, du grain d'image pour faire comprendre au spectateur occidental, trop con ou raciste, que ce sont les mêmes persos. Avec tout de même, deux excellentes actrices, tout comme pour Namiki d'ailleurs. Dommage, que dans les premiers épisodes, on ne pense qu'à ce manque de ressemblance physique, sans pouvoir se concentrer sur les personnalités. D'autant plus, justement, qu'elles sont parfois bien différentes elles aussi. Cassés par la vie, ça peut se comprendre, mais là, les changements sont trop Automatics.

Grosse production oblige, destinée de surcroit à l'internationale, une pléthore de seconds rôles déjà connu en occident, tout du moins de visages, grâce au cinéma, défile dans cette série. Iura Arata, Furutachi Kanji ou Kaho, diront quelque chose aux habitués des salles obscures. Publique cible, j'en suis sûr, de ce drama pas si populaire que ça. Car on est bien ici dans des acteurs de cinéma d'auteur. Celui qui s'exporte si bien, notamment vers la France. Heureusement pour moi, donc, qui est fan de tous ses seconds rôles, ce qui m'a poussé à passer la porte du 3e épisode. Car il faut bien le dire, l'histoire devient vraiment intéressante à ce moment-là. Quand on dépasse enfin cette amourette d'un jeune génie du soudtracking et d'une influenceuse TikTok, présente pour attirer une génération bien éloignée des séries, mais également les clichés school life qui pullulent dans les premières minutes. C'est vrai, que ça peut faire sourire, comme un épisode de Sauvé par le Gong ou Hélène et les Garçons, mais ce n'est pas ce que j'attendais d'une telle production. Les lourdeurs s'estompent, alors, avec les épisodes qui passent, et les tentatives de légèreté, mais toujours dégoulinante de pognons dans la production (l'épisode mars) font passer la poésie avant le mainstream Tokyo style.

Pardon, j'avais oublié, l'histoire se passe à Hokkaido et un tout petit peu à Tokyo, comme si l'office du tourisme de l'île avait participé au financement pour rendre la région trop sexy. Il faut dire que ça marche, même un carrefour filmé par drone donne envie de visiter Sapporo. Vous aurez, si vous êtes patient, donc droit à des moments neigeux, trop "5cm per second". Mais le réchauffement climatique sera tout de même bien présent. Avec, entre autre, le mini short bien trop court de Aoi Yamada, dansant pour ses vidéos, en plein milieu des nuits fraiches de l'île la plus au nord du Japon.

Désolé, j'ai encore une fois eu un trou de mémoire, puisque j'avais annoncé ne pas m'étaler sur cette critique… Mais je voulais encore dire que Kanchiku Yuri, la réalisatrice et scénariste, si connait en clip classieux, puisqu'elle a tourné surtout des vidéos pour AKB48. Ce qui transparait dans son style et son amour pour la musique (Non, il n'y a pas de malice dans mes propos). Car, on sent bien, qu'au-delà du mainstream de la prod et du scénario un peu bidon (si, si !), c'est bien l'amour pour les love song, l'imaginaire d'un romantisme sublimé et cette nostagie qu'elle a voulu maladroitement faire passer. À nous, entre autres, petits occidentaux assommés par des clips de Rap et de chanson revancharde à la Miley Cirrus. Je la remercie donc de faire découvrir à grand coup de santiags dans la porte, certes, la délicatesse du romantisme à la japoniase. Et, je ne peux après ça, que conseiller de passer à Silence sortie sur les écrans en même temps et qui s'ancre vraiment, lui, dans un romantisme plus réaliste et qui j'en suis sur vous tirera bien plus de larmes. De plus, le succès phénoménal de son ending fait penser irrésistiblement à celui d'une chanson d'Utada Hikaru, alors pourquoi s'en priver ?

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Complété
JulesL
98 personnes ont trouvé cette critique utile
nov. 25, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 5
Globalement 9.0
Histoire 9.0
Acting/Cast 9.0
Musique 10
Degrés de Re-visionnage 8.5

Fated Love - Neither Time Nor Distance Can Prevent It

First Love: Hatsukoi has beautifully captured the twists and turns of destined love. With Fate pushing two people together but also pulling them apart when tragedy occurred, it was an addictive emotional roller coaster ride filled with the rapture of first love, the regret of lost love, and the joy of second chances.

A wonderful story about a love that transcended the sands of time, this drama fell into comfortable and familiar tropes. However, in this show, I found the cliches charming. With such strong chemistry between the leads (younger and older versions), I was happy just to be along with the ride and watch the heartfelt romance unfold.

Using distinct color palettes and compelling imagery, the director, Kanchiku Yuri, and the cinematographers breathed new life into tired story elements. Fluid camera movements transitioned the viewer seamlessly from the flashbacks of the leads' past into the reality of their present circumstances.

I liked how the director used elements like the snow, the sea, and the sounds of planes; many scenes were like expressive photographs with period details. In this show, color was not only an emotion, a state of mind but also part of the story itself. The way the show filtered and focused on the colors allowed me to experience the story through a unique lens that drew me further into it.

Of course, the music was one of this drama's most notable aspects. After all, Hikaru Utada's songs- First Love and Hatsukoi, inspired the story. In addition to these two, the drama music, including instrumental pieces by Taisei Iwasaki and other songs, captured the emotional moments flawlessly - joyful, nostalgic, or heart-wrenching. The music evoked empathy for the characters and was crucial to the narrative.

Despite a few rough spots that needed smoothing out, the story was well-written and flowed nicely. I appreciate that the plot was not only about romantic love but also about coming of age and the consequences of choices. There were also risque scenes which was an interesting change from the more conservative Chinese and Korean dramas.

The excellent acting also made this drama enjoyable for me. The characters were likable and relatable. The female lead's mother had moments where I wanted to smack her, but her heart was in the right place.

I liked and respected Mitsushima Hikari's Noguchi Yae, a character that I would describe as resilient. Society forced the idea of some being better than others and imposed unfair judgment on people like Yae's mother, but regardless, Yae knew that she and her mother deserved just as much as anyone else. Hikari was so lovely to watch, and her beguiling performance, along with Satoh Takeru as Namiki Harumichi, added the depth that completed the show. Takeru, with his melt-your-heart gaze, portrayed Harumichi perfectly. He is a really subtle actor whose eyes and micro-expressions speak volumes.

I also enjoyed the portrayal of the younger versions of the leads by Yagi Rikako and Kido Taisei. They were able to convey the feelings of an all-consuming idealistic young love, and Taisei's earnestness won me over as young Harumichi.

In summary, I do recommend this drama! I love a good love story, and this was definitely that. It is a story in which you cannot spend too much time thinking about the details. You just have to accept that the universe has plans for everyone, and everything will play out splendidly. As long as you enjoy the show in its little contained, cliched world, there is plenty to relish. Don't forget to watch the ending credits scene to the very end.

For posterity, I have included the Spotify playlist:
https://open.spotify.com/playlist/37i9dQZF1DWTSDEMZlKWZw?si=282686721a124f1d
Other songs:
- Escapade by Emro: https://open.spotify.com/track/71Pu8L7LWuig8tY3zuKH8C?si=44416f6cad1c4963
- Sleep With You by Egil Olsen
https://open.spotify.com/track/6dJabU4OhnOfyByP8NQeOF?si=caf81692d1dc4e4d
- Hard Work and Fate
https://open.spotify.com/track/29mpuWWmRUdH9P2zXz9a4k?si=858ee21bbd2040e4

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gCell at Work
50 personnes ont trouvé cette critique utile
nov. 24, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 0
Globalement 9.0
Histoire 9.0
Acting/Cast 10
Musique 10
Degrés de Re-visionnage 8.5

It's hell on Earth to keep driving, knowing it's really just a wrong turn.

^Summary of Harumichi's life so far, JK.

STORY - 9 ⭐️
This drama has artfully weaved some historical events (including this COVID pandemic era), cultural references, even social and political issues within this story. About the love story, I wouldn't say that it is something new; there are some cliches; but what I like most are the scenes that made me curious and then find more about it scenes later. Every character was well written, making them real people and have their own depth. I am not sure very sold with the 'love story' between Tsuzuru and Uta but maybe I'm just invested with the main couple's story.

Although presented as a love story in the trailers, it also showed youth's goals and dreams and how some get to fulfill it, some not making it or just taking detours. Some scenes can get preachy about it but over-all, the story's execution is actually good.

ACTING/CAST - 10 ⭐️
There's no denying that the main couple are veteran actors. Don't want to spoil anything but there's this scene that really made me tear up. The young actors did well too and their chemistry suits the theme of first love. Despite not looking like alike, (at least we get the moles right) I can definitely see the young characters maturing into the adult counterparts. Even the supporting characters too had delivered a good performance.

MUSIC - 10 ⭐️
Aside from Utada Hikaru's songs, I find Tsuzuru's music and the drama's sound design and transition faultless. I am no sound or music aficionado but as I watch this with my headphones, I find everything seamless and cinematic. There were a couple of mellow English songs too and it fit well in the atmosphere of the whole drama.

REWATCH VALUE - 8.5 ⭐️
I am not someone who rewatches dramas but the cinematography and the cast's performance alone could easily make me watch it again if I have the time.

OVERALL - 9⭐️

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KassyFan27
38 personnes ont trouvé cette critique utile
nov. 28, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 3
Globalement 6.5
Histoire 6.5
Acting/Cast 9.0
Musique 7.5
Degrés de Re-visionnage 3.5
Cette critique peut contenir des spoilers

Melodramatic and cliché-ridden

It was honestly difficult to rate this drama. On the one hand acting performances were top tier and the cinematography was wonderful. On the other hand the script and plot devices were frustratingly poor and predictable. So, I'll start with recalling some of the positives about "First Love." I have to give credit to the amazing acting of the female lead actress Mitsushima Hikari. She plays the adult version of the character Yae and I thought her performance was very convincing and well done. She acted with her eyes and facial expressions without needing a word of dialogue to convey what her character was thinking and going through. A highlight is the scene where Yae gives her son away and is crying on the road. That scene broke me and felt so real. Another great acting performance was that of the young Harumichi played by Kido Taisei. I thought the actor stole every scene he was in. He was very charismatic and multifaceted. He brought a teen and young adult Harumichi to life. Another plus, was frankly how this drama was beautiful to look at. The way color, lighting, and scenic details were used made for a pleasing experience to the eyes.

Now on to the things that made me rate this drama a 6.5.
To start, I could understand that this drama is based on a ballad "First Love" from 1999 and is clearly inspired by the melodrama romances of that era including Majo no Jouken, which interestingly enough used the song First love as it's theme. Also, I see the Taiwanese drama Autumn's Concerto as a possible influence as well. That's all fine and good, except First love 2022 incorporates all the hair splitting frustrating cliches of that bygone time and combines it into a mess of inconsistencies and plot driven narratives. And like a lot of 90s-00s melodramas, First Love starts off with promise and leaves viewers hooked only to fall flat on its face midway through. Like some reviews already covered, the tired old amnesia cliche is used as a plot device to separate our main leads. We also have the villain parent(s) that purposely keeps the young lovebirds apart, ruining their lives in the process. Very annoying! Yae gets amnesia and conveniently doesn't remember Harumichi at all. Her friend visits and even mentions him to her yet Yae never looks him up or investigates further. Yae's mother sees how her daughter is suffering for years and never tells her the truth. There were several moments that the mom made me want to punch my fist in a wall. The perfect time for Yae's mom to tell her the truth was when Yae gave up her son to her divorced husband. At this point the marriage and rich lifestyle the mother wanted for her daughter had failed so why not confess to Yae about her lost first love? In fact why was anyone keeping Yae's past from her, including the adult Harumichi? All these poor writing choices found in the worst melodramas like this one is to keep the main couple apart for as long as possible and make unnecessary events come between them. It's supposed to make for a powerful epic reunion of the lovers, but often it just results in an anticlimactic ending where viewers like myself forget to care.

Some bonus nit picks and wtfs:
*5th episode sex scene. Graphic and ill fitting for a romantic love story. Ml has sex with a random, has another scene where he gets physical with a gf, and Yae gets no intimate scenes at all. Did she have an immaculate conception or what lol.
*Harumichi's sister randomly tells Yae that her brother breastfed until 3rd grade and was addicted to pornos spending a whopping amount on AV tapes. Later in the timeline, Harumichi offers some of these porno tapes to Yae's 14 yr old son, yikes!
*Episode 8 where Harumichi just up and leaves Yae permanently and moves out of the country. Yae confessed that she loved him and he had already broke up with his fiancee. So wtf. Again, the show threw sense out the window for an "epic" reunion.
*Adult Harumichi cheated with his fiancee by kissing and flirting with Yae. What a swell guy.
*The time line issue. The first past timeline is supposed to be in the late 90s but things don't add up, such as "First love" the album and song came out April 1999. The CD is seen on display at a music store at the end of the first episode as if it's just been released making the year 99. Yet, teen Yae and Harumichi go to the theater to watch Titanic, came out in 1997 or Armageddon, which came out in 1998. I doubt these movies were still playing in Japanese theaters in 1999. Also, the CD player and earbuds used in the show look like a later model than what existed in the late 90s. Several other time period inaccuracies are present if you notice them.

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catherine
15 personnes ont trouvé cette critique utile
nov. 26, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 1
Globalement 7.0
Histoire 6.5
Acting/Cast 7.0
Musique 8.0
Degrés de Re-visionnage 7.0
Cette critique peut contenir des spoilers

A quiet drama about how life goes on

Let me start by saying that I think the amnesia trope is one of the worst tropes out there — it's convenient, it's tired, and it's a lazy way of forcing characters to go through character development all over again. But there are some dramas where amnesia IS the plot, to which I have no choice but to just wait and see if it's done well.

In this case, it's...okay? The event itself and the fallout immediately after it is almost laughably early 2000s drama cliche, but the entire drama somehow does a good job of staying grounded in its melodramatic vibe and I think that's the part that makes all the difference.

At its core, this drama is very nonconfrontational, which I kind of have mixed feelings about. On one hand, it feels like there are scenes missing, especially discussions between characters that I wanted to see but didn't.

On the other hand, it feels like that's part of what gave this drama its mellow, realistic vibe. There are some things in life that you don't say, some unsent letters that will never be read, some decisions you can never undo. But life goes on.

Overall, this was a comforting watch and I admit I'm partial to the younger timeline (as I expected) simply because of how innocent, fun, and full of life the characters were. There are some side characters that got more screen time than I would've liked, but the leads did the job and stole my heart, all to the the tune of a fantastic OST.

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lurkingshan
15 personnes ont trouvé cette critique utile
déc. 4, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 0
Globalement 7.0
Histoire 6.0
Acting/Cast 10
Musique 8.0
Degrés de Re-visionnage 4.0
Cette critique peut contenir des spoilers

Starts strong but falls apart midway

I had high hopes for this one but despite an engaging start it kind of petered out and I started to get bored in the final stretch. Others have already mentioned the use of cliche tropes, which was clearly intentional and not necessarily a bad thing when deployed well. But in this show I don’t think they pulled it off.

The drama started strong, with the past timeline with the teen versions of the characters a particular bright spot. I found their story utterly charming and the actors were great.

Unfortunately the adult story line was a mess, despite strong performances. The pacing was off, with plot points dragged out unreasonably long and side stories that added little to the main narrative. There were multiple points in the story when I didn’t understand why the leads were behaving a certain way - and it was clear that the only real answer was the plot demanded it. Worst of all, despite being about 3 hours longer than it should have been, the show didn’t even provide satisfying resolutions to many of the conflicts and questions it introduced (I felt this most keenly wrt the FL’s mother, who was never taken to account for her interference that resulted in years of misery for everyone involved). And the choice to drag out the reunion until the last 15 minutes of the final episode meant we saw precious little of our couple actually together.

Lastly, I’ll just say that I thought the overall tone of the drama was a mismatch for the story. The main narrative was about a couple who were deeply in love losing 25 years together mostly because of outside interference, but the characters never seemed to get angry or feel any resentment about it. They were actually pretty chill most of the time despite the absolute tragedy of the story, and the tone of the whole drama was curiously light. A second pass on the script to tighten up the writing all around would have served this drama well.

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jade
11 personnes ont trouvé cette critique utile
nov. 25, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 0
Globalement 9.5
Histoire 9.5
Acting/Cast 9.5
Musique 9.0
Degrés de Re-visionnage 9.5
This is a gorgeous drama!

The good: Cinematography, direction, acting, music, pacing, chemistry. There is so much to love and this drama really draws you in.

The bad: The ONLY faults I can find are that it actually uses the now-ancient amnesia trope (although it succeeds in pulling it off, imo), and the adult ML did some things that made him not very likable. These were small things compared to the bigger picture, and this drama is still 100% worth watching. Actually, you don't want to miss it.

This is one of the best dramas of the year for me. It could have been better, but not much. It's close to perfect.

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virgievirgie
9 personnes ont trouvé cette critique utile
nov. 26, 2022
9 épisodes vus sur 9
Complété 6
Globalement 8.5
Histoire 8.0
Acting/Cast 9.0
Musique 8.5
Degrés de Re-visionnage 8.0

Don't miss the scenes during and after the ending credits in the last episode!

Rating - 8.25

I remember back when Hikaru Utada’s song “First Love'' came out in 1999, many were obsessed with it, and I was one of them. I played this song many, many times. So when I heard a drama is coming out based on this song and starring the amazing Satoh Takeru, I have to watch it. The expectations were high and did the drama meet them? I am afraid not quite.

“First Love:Hatsukoi” is a beautifully made drama. Most of the drama was set in snowy Hokkaido and the cinematography was great. Even when it switches to Tokyo, the color palette fits the tone of the drama, especially when telling the story of our hard-working female lead. Because the drama was based on two songs, I was initially concerned that those songs would be overplayed. I am glad that wasn’t the case. It didn’t make me hate “First Love” (the song) but made me love it again. There are quite a few English songs in the drama, which I have hoped are Japanese instead. Maybe Netflix has something to do with it. It does give some sort of American feel to a supposedly very Japanese drama.

Acting is top notch. I am already a big fan of Satoh Takeru and his micro-expressions are no joke. It’s so nice to see him play a regular guy going through tough times. It’s fun to see him displaying a fun side when he’s a security guard joking with his co-worker. It’s a nice change from seeing him as a hotshot doctor, an over-the-top baker or a cold-blooded swordsman. I am glad to be introduced to Mitsushima Hikari. When she was first introduced in the drama, she was a hard-working but tired-looking taxi driver. But throughout the drama, you see different sides of Noguchi Yae, and Mitsushima Hikari does a beautiful job in portraying a young and naive wife, a young mother, a downtrodden divorcee and then a supportive mother to her teenage son. As amazing as these veteran actors are, the two young leads might have stolen their thunder a little bit. Yagi Rikako playing the younger Yae, and Kido Taisei as the younger Harumichi light up the screen. Their infectious smiles and bright sunny personalities make the drama so much fun to watch. Their story is more enjoyable and makes a bigger impression on me than the adult leads.

Not that the adult version of the love story is not memorable, it just lacks a certain gut punching feel. I was hoping for more angst, more heartbreaking moments between the adult Yae and Harumichi. I wanted more scenes between the two, more longing looks from Harumichi and more touching moments. I think the side story between Tsuzuru and Uta might have taken too much time from the main storyline. I don’t find this young romance too interesting, though the purpose of their romance is to remind the adults to pursue their dreams and loved ones. The pacing of the story is quite slow and I can certainly feel it when I am binge-watching this in a day.

I also have conflicting feelings in the use of flashbacks in the storytelling. I like how the different timelines are interwoven together, and how one timeline picks up the story of another timeline. But it did take me a quick second to get used to the transition. Viewers do need to pay close attention especially in the first episode to get used to the switches, especially when young Harumichi and Tsuzuru have very similar build and hairstyle. I think my biggest issue is how short these flashbacks could be, thus making the back-and-forth switches very abrupt.


Other Random Observations:
1. I love the wedding and the speech with sign language. I also love the blue color theme.
2. I remember those Titanic moments and it’s fun to see the young lovers re-enacting the famous scene.
3. I wonder how Harumichi becomes a security guard. Did I miss the explanation?
4. I like the bonding between Harumichi and Tsuzuru.
5. Don’t miss out on the scenes during and after the ending credits in the last episode!


Completed: 11/26/2022

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Hatsukoi (2022) poster

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