un moment de sourire
Une jolie romance? oui. Cliché? carrément. Un bon moment malgré tout?
Nanase Sakura devient infirmière par amour. Par amour pour son coup de foudre rencontré 5 ans auparavant, un brillant médecin, Kairi Tendo. Par amour du métier, par la suite. Suivant les folies de son coeur, Nanase confessera son amour une fois infirmière à l’hôpital où travaille Kairi. La désillusion la transpercera de suite, Kairi est surnommé « Devil ». A juste titre. Loin de déchanter, notre petite infirmière au grand coeur se promet de gagner coûte que coûte le coeur de l’insaisissable « Devil ».
Les plats réchauffés sont loin d’être mauvais. Bien que rassasié de cliché, ce drama arrive tout de même à nous accrocher agréablement. A m’accrocher.
Je suis, du plus loin que je me souvienne, une amoureuse de manga. J’ai grandi avec. J’ai dormi avec. J’ai aimé avec. Je n’ai jamais réellement affectionné les actions live japonais.
Jusqu’à "Hajimete Koi wo Shita Hi ni Yomu Hanashi" et "Chugakusei Nikki". Deux dramas qui m’ont tellement empêché de manger sereinement que j’ai voulu en savoir un peu plus. L’avantage avec les J-dramas est leur format court qui permet de faire une pause entre deux dramas coréens ou chinois mais aussi l’ambiance souvent légère et décalée. Quand vous sortez meurtris et le coeur brisé d’un drama de 49 épisodes comme « The Wolf », un drama comme celui-ci, vous permet d’avoir la sensation de sortir marcher au bord d’une plage joyeusement malmenée par des vacanciers insouciants.
Ce drama est loin d’avoir été choisi au hasard. J’ai une admiration sans borne pour Satoh Takeru. Il est Kenshin et le restera dans mon coeur pour les décennies à venir. Par curiosité, j’ai donc voulu voir ce petit génie autrement qu’en samourai-bad-ass-trop-sexy. Et je ne suis pas déçue.
Je ne vais pas vous mentir, à chaque coin des épisodes, je m’attendais presque à le voir nous faire un saut incroyable ou à courir tout en faisant ses acrobaties les plus bluffantes. Le syndrome Kenshin (je devrais peut-être encore me refaire toute la saga...).
A la place, des expressions froides et bougonnes avec une voix de ténor qui correspondent parfaitement au personnage incarné. Et sans surprise, Satoh Takeru y excelle avec aisance. J’ai parfois, pour ne pas dire souvent, du mal à adhérer aux personnages glaciales qui se transforment par magie en un personnage maladroit et enfantin. Je pense notamment à « the fox’s summer season ». Je préfère un personnage qui reste fidèle à lui-même tout en évoluant en même temps.
Tendo Kairi est ce type de personnage. Froid aux répliques cinglantes. Un médecin avant tout qui ne laissera jamais ses pensées personnelles mettre en péril ses patients. Ses regards assassins et son rictus désabusé m’ont totalement séduite (je dois être un peu masochiste tout de même, en ce moment, c’est la totale « loose » avec le drama « The Wolf » qui a un héros encore pire que Kairi).
Bien que séduit peu à peu par Sakura Nanase, il ne se déparera pas de son attitude. Et c’est ce qui fait que j’en suis (presque) tombée amoureuse moi aussi. Rendant ses actions, ses mots encore plus surprenants.
Rhaaaa! Le premier bisous. Vous savez ce premier que nous attendons tous, celui qui me voit redevenir une gamine de 17 ans toute rougissante et pourtant toute rêveuse (Ah vous aussi?)….je peux les compter sur les doigts d’une main les bisous qui m’ont fait sautiller sur place. Il y a les intenses. Les passionnés. Gentillets. Et il y a les surprenants tout superbe de classe. Leur premier baiser fait partie de cette dernière classe. Ainsi ceux qui suivent aussi. Un pur régal pour la romantique que je suis.
Et puis, Satoh Takeru en romantique bougon, moi je dis mille fois oui! mille fois oui à son 馬鹿, « baka »!
Sakura Nanase est un personnage classique que l’on retrouve souvent chez les japonais. Simple, maladroite avec une âme joyeuse et positive. Elle rappelle un peu Kotoko « d’Itazura Na Kiss », tant par leur métier, leur caractère et leur amour sans faille envers le même type de personnage. Il n’y a pas vraiment de surprise ici, Nanase reste fidèle à elle-même, un personnage qui change petit à petit le héros grâce à son caractère joyeux et positif, à ses soins contants et sincères envers ses patients et à sa force de caractère.
Comme souvent, les romances secondaires ne m’ont pas particulièrement attirés. Les personnages secondaires sont sympathiques mais pas remarquables.
C’est donc un drama qui permet de faire une transition agréable, un moment qui permet de sourire sans arrière pensée.
Et puis, si vous avez ne serait-ce qu’un chouilla d’affection pour Satoh Takeru, n’hésitez pas.
Nanase Sakura devient infirmière par amour. Par amour pour son coup de foudre rencontré 5 ans auparavant, un brillant médecin, Kairi Tendo. Par amour du métier, par la suite. Suivant les folies de son coeur, Nanase confessera son amour une fois infirmière à l’hôpital où travaille Kairi. La désillusion la transpercera de suite, Kairi est surnommé « Devil ». A juste titre. Loin de déchanter, notre petite infirmière au grand coeur se promet de gagner coûte que coûte le coeur de l’insaisissable « Devil ».
Les plats réchauffés sont loin d’être mauvais. Bien que rassasié de cliché, ce drama arrive tout de même à nous accrocher agréablement. A m’accrocher.
Je suis, du plus loin que je me souvienne, une amoureuse de manga. J’ai grandi avec. J’ai dormi avec. J’ai aimé avec. Je n’ai jamais réellement affectionné les actions live japonais.
Jusqu’à "Hajimete Koi wo Shita Hi ni Yomu Hanashi" et "Chugakusei Nikki". Deux dramas qui m’ont tellement empêché de manger sereinement que j’ai voulu en savoir un peu plus. L’avantage avec les J-dramas est leur format court qui permet de faire une pause entre deux dramas coréens ou chinois mais aussi l’ambiance souvent légère et décalée. Quand vous sortez meurtris et le coeur brisé d’un drama de 49 épisodes comme « The Wolf », un drama comme celui-ci, vous permet d’avoir la sensation de sortir marcher au bord d’une plage joyeusement malmenée par des vacanciers insouciants.
Ce drama est loin d’avoir été choisi au hasard. J’ai une admiration sans borne pour Satoh Takeru. Il est Kenshin et le restera dans mon coeur pour les décennies à venir. Par curiosité, j’ai donc voulu voir ce petit génie autrement qu’en samourai-bad-ass-trop-sexy. Et je ne suis pas déçue.
Je ne vais pas vous mentir, à chaque coin des épisodes, je m’attendais presque à le voir nous faire un saut incroyable ou à courir tout en faisant ses acrobaties les plus bluffantes. Le syndrome Kenshin (je devrais peut-être encore me refaire toute la saga...).
A la place, des expressions froides et bougonnes avec une voix de ténor qui correspondent parfaitement au personnage incarné. Et sans surprise, Satoh Takeru y excelle avec aisance. J’ai parfois, pour ne pas dire souvent, du mal à adhérer aux personnages glaciales qui se transforment par magie en un personnage maladroit et enfantin. Je pense notamment à « the fox’s summer season ». Je préfère un personnage qui reste fidèle à lui-même tout en évoluant en même temps.
Tendo Kairi est ce type de personnage. Froid aux répliques cinglantes. Un médecin avant tout qui ne laissera jamais ses pensées personnelles mettre en péril ses patients. Ses regards assassins et son rictus désabusé m’ont totalement séduite (je dois être un peu masochiste tout de même, en ce moment, c’est la totale « loose » avec le drama « The Wolf » qui a un héros encore pire que Kairi).
Bien que séduit peu à peu par Sakura Nanase, il ne se déparera pas de son attitude. Et c’est ce qui fait que j’en suis (presque) tombée amoureuse moi aussi. Rendant ses actions, ses mots encore plus surprenants.
Rhaaaa! Le premier bisous. Vous savez ce premier que nous attendons tous, celui qui me voit redevenir une gamine de 17 ans toute rougissante et pourtant toute rêveuse (Ah vous aussi?)….je peux les compter sur les doigts d’une main les bisous qui m’ont fait sautiller sur place. Il y a les intenses. Les passionnés. Gentillets. Et il y a les surprenants tout superbe de classe. Leur premier baiser fait partie de cette dernière classe. Ainsi ceux qui suivent aussi. Un pur régal pour la romantique que je suis.
Et puis, Satoh Takeru en romantique bougon, moi je dis mille fois oui! mille fois oui à son 馬鹿, « baka »!
Sakura Nanase est un personnage classique que l’on retrouve souvent chez les japonais. Simple, maladroite avec une âme joyeuse et positive. Elle rappelle un peu Kotoko « d’Itazura Na Kiss », tant par leur métier, leur caractère et leur amour sans faille envers le même type de personnage. Il n’y a pas vraiment de surprise ici, Nanase reste fidèle à elle-même, un personnage qui change petit à petit le héros grâce à son caractère joyeux et positif, à ses soins contants et sincères envers ses patients et à sa force de caractère.
Comme souvent, les romances secondaires ne m’ont pas particulièrement attirés. Les personnages secondaires sont sympathiques mais pas remarquables.
C’est donc un drama qui permet de faire une transition agréable, un moment qui permet de sourire sans arrière pensée.
Et puis, si vous avez ne serait-ce qu’un chouilla d’affection pour Satoh Takeru, n’hésitez pas.
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