La lutte d'un "monstre" contre les humains
Night Light (White Nights en France) est un K-drama sur le monde impitoyable des affaires et, dans une moindre mesure du monde politique. C’est l’histoire d’une femme d’affaire très ambitieuse et impitoyable (Lee Yo Won) venue en Corée pour atteindre le « sommet ». Sur le chemin de son ascension, elle devra faire face, entre autres, à son amour de jeunesse (Jin Goo) bien décidé à ne pas se et la laisser faire et à une jeune femme (Uee) qu'elle prendra sous sa tutelle et dont l’aspiration sera vite de ressembler à son mentor et, à mon sens, l'intérêt essentiel de ce drama réside dans la relation très particulière des deux femmes.
Il s’agit d’un drama outrancier, où la cohérence est sacrifiée au profit de l’action. Car oui, ce drama multiplie à l’envie les facilités et raccourcis scénaristiques. On peut même dire que la mise en scène est souvent paresseuse. Exemples, parmi beaucoup d’autres, les scènes de filature sont proprement simplistes et ridicules. Mais peu me chaut tout ces défauts.
Le grand mérite de ce drama, à l’instar d’un Penthouse, War In Life, pour peu qu’on y adhère, est qu’il est terriblement efficace. En mettant de côté son esprit cartésien, on peut aisément se laisse transporter par les multiples rebondissements, les alliances et mésalliances qui ne font que changer au fil de la série.
Le trio Lee Yo Won, Uee et Jin Goo fonctionne à merveille avec chacun leurs forces, leurs faiblesses et leurs sentiments ambivalents les uns pour les autres. Si Uee est l’éclat de cette série, la véritable force motrice captivante de ce drama est véritablement Lee Yo Won dans son rôle de femme d’affaire tourmentée, insaisissable et particulièrement retors.
Alors, même s’il est loin d’être parfait, j’ai pris un très grand plaisir au visionnage de ce K-drama que je revisionnerai un jour, peut-être, mais avec plaisir, assurément.
Il s’agit d’un drama outrancier, où la cohérence est sacrifiée au profit de l’action. Car oui, ce drama multiplie à l’envie les facilités et raccourcis scénaristiques. On peut même dire que la mise en scène est souvent paresseuse. Exemples, parmi beaucoup d’autres, les scènes de filature sont proprement simplistes et ridicules. Mais peu me chaut tout ces défauts.
Le grand mérite de ce drama, à l’instar d’un Penthouse, War In Life, pour peu qu’on y adhère, est qu’il est terriblement efficace. En mettant de côté son esprit cartésien, on peut aisément se laisse transporter par les multiples rebondissements, les alliances et mésalliances qui ne font que changer au fil de la série.
Le trio Lee Yo Won, Uee et Jin Goo fonctionne à merveille avec chacun leurs forces, leurs faiblesses et leurs sentiments ambivalents les uns pour les autres. Si Uee est l’éclat de cette série, la véritable force motrice captivante de ce drama est véritablement Lee Yo Won dans son rôle de femme d’affaire tourmentée, insaisissable et particulièrement retors.
Alors, même s’il est loin d’être parfait, j’ai pris un très grand plaisir au visionnage de ce K-drama que je revisionnerai un jour, peut-être, mais avec plaisir, assurément.
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