Espoir et guérison au service psychiatrie
Ces dernières années, on a souvent entendu parler de maladies mentales. Cependant, des œuvres qui explorent un service psychiatrique sont rares, car elles peuvent plonger le spectateur dans un certain malaise. Pourtant, c’est un service indispensable.
Avec douze épisodes, on suit l’infirmière Da Eun (Park Bo Young), nouvellement arrivée au service psychiatrie. L’actrice signe sûrement son meilleur rôle à ce jour. Elle fait face, en même temps que nous, aux patients du service. Sans vouloir déprimer complètement le spectateur, Lee Jae Kyu préfère mettre en scène de nombreuses maladies liées au stresse de la société et de la pression familiale. Pas besoin d’aller dans les hautes sphères du drame, les cas abordés hurlent de réalisme dans une société toujours plus dures et en proie à une perfection de moins en moins atteignable.
Daily Dose of Sunshine traite en surface plusieurs cas, donnant quelques détails, mais à aucun moment elle ne sert d’auto-diagnostique à qui le veut. La série met en avant qu’un professionnel de la santé est le plus averti pour venir en aide à des personnes en détresses.
Le secteur médical est en souffrance depuis des années. Par des délais anormalement long, mais également un manque de personnel. Si la série reste honnête, elle ne se prive pas de le mentionner à quelques reprises. Et derrière ces efforts et une journée toujours plus épuisante que la précédente, c’est un métier au contact fort. Où des infirmiers et médecins finissent par sympathiser avec leurs patients. Jusqu’au moment où même un personnel avisé peut faiblir.
Réalisé avec soin et intimité, Daily Dose of Sunshine dépeint le milieu d’un service psychiatrique. Sans être dans le voyeurisme ou l’accusation, Lee Jae Kyu livre un drame touchant aux personnages attachants.
Avec douze épisodes, on suit l’infirmière Da Eun (Park Bo Young), nouvellement arrivée au service psychiatrie. L’actrice signe sûrement son meilleur rôle à ce jour. Elle fait face, en même temps que nous, aux patients du service. Sans vouloir déprimer complètement le spectateur, Lee Jae Kyu préfère mettre en scène de nombreuses maladies liées au stresse de la société et de la pression familiale. Pas besoin d’aller dans les hautes sphères du drame, les cas abordés hurlent de réalisme dans une société toujours plus dures et en proie à une perfection de moins en moins atteignable.
Daily Dose of Sunshine traite en surface plusieurs cas, donnant quelques détails, mais à aucun moment elle ne sert d’auto-diagnostique à qui le veut. La série met en avant qu’un professionnel de la santé est le plus averti pour venir en aide à des personnes en détresses.
Le secteur médical est en souffrance depuis des années. Par des délais anormalement long, mais également un manque de personnel. Si la série reste honnête, elle ne se prive pas de le mentionner à quelques reprises. Et derrière ces efforts et une journée toujours plus épuisante que la précédente, c’est un métier au contact fort. Où des infirmiers et médecins finissent par sympathiser avec leurs patients. Jusqu’au moment où même un personnel avisé peut faiblir.
Réalisé avec soin et intimité, Daily Dose of Sunshine dépeint le milieu d’un service psychiatrique. Sans être dans le voyeurisme ou l’accusation, Lee Jae Kyu livre un drame touchant aux personnages attachants.
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