Cette critique peut contenir des spoilers
Ascenseur émotionnel et réalité brute (l'amour n'est pas rose)
Beaucoup d'adjectifs me traversent l'esprit pour définir ce drama. Pourtant, j'ai l'impression qu'ils ne suffisent pas à capturer mon sentiment à son sujet. Unique et réaliste, il est fort et n'hésite pas à faire passer le téléspectateur par un éventail d'émotions, tout autant que les personnages, notamment Go Yeong.
Derrière son magnifique sourire, Nam Yoon Su est un excellent acteur. Il le confirme en prenant les traits de Go Yeong. Plus encore, il pourrait tout aussi bien être récompensé pour avoir balayé les nombreuses critiques qui lui ont été adressées, et pas toujours de façons correctes. Quoiqu'il en soit, Nam Yoon Su dépeint un personnage auquel il est facile de s'attacher.
Tout d'abord, Kim Nam Gyu. Une relation intense pour laquelle il n'était pas prêt avant de goûter aux regrets. Ensuite, No Yeong Su. S'il voulait plus, son partenaire n'était pas prêt et sûrement un peu égoïste. Puis, Gyu Ho est arrivé. Et cette fois, c'était l'amour parfait. Son idéal. C'était magnifique de les voir, jusqu'au moment où ils se font rattraper par leurs vies respectives. Aussi terrible que ce soit, c'était comme si l'amour idéal avec Gyu Ho n'était pas le bon moment. C'est déchirant, mais réaliste. Combien de couples parfaits ont terminé ainsi, aussi ? Pour finir par Habibi, une sorte d'aventure et de réflexion sur lui-même. Fugace, rapide, mais qui lui a permis de poser certains mots.
L'amour, c'est compliqué. Ça fait autant de bien que de mal. Ça nous rend aussi heureux que malheureux. Pourtant, peu importe les blessures, la plupart d'entre nous cherchons ce sentiment qui nous rend uniques aux yeux d'une personne. D'ailleurs, une grande partie de sa richesse est là, ce drama parle à tout le monde, peu importe son orientation. Go Yeong est gay, ok. Je suis une hétéro, ok. Mais ce qu'il ressent, ce qu'il traverse, ce sont des expériences que j'ai également connues, parce qu'on peut tous s'identifier à ce sentiment.
Mais comment chercher ce qu'on ignore ? Au départ, Go Yeong est sûr d'avoir déjà aimé, mais est-ce vraiment le cas ? Pour moi, son premier amour, son vrai premier amour, c'est Gyu Ho. Ces deux syllabes laissées sur la lanterne. Chaque relation de Go Yeong l'a fait évoluer et grandir. Cependant, celle avec Gyu Ho était vraie, vivante et chargée d'amour.
Pour finir, j'ai souvent mentionné que le jour où nous aurons un KBL avec des épisodes d'au moins 40 minutes, alors ce sera comme un matin de Noël à chacun d'eux. Ce fut le cas.
En bref, Love in the Big City est sans aucun doute l'un des meilleurs dramas de cette année grâce à sa douceur, sa puissance et son réalisme avec un personnage central attachant et parfaitement interprété (tout comme l'ensemble de la distribution).
Derrière son magnifique sourire, Nam Yoon Su est un excellent acteur. Il le confirme en prenant les traits de Go Yeong. Plus encore, il pourrait tout aussi bien être récompensé pour avoir balayé les nombreuses critiques qui lui ont été adressées, et pas toujours de façons correctes. Quoiqu'il en soit, Nam Yoon Su dépeint un personnage auquel il est facile de s'attacher.
Tout d'abord, Kim Nam Gyu. Une relation intense pour laquelle il n'était pas prêt avant de goûter aux regrets. Ensuite, No Yeong Su. S'il voulait plus, son partenaire n'était pas prêt et sûrement un peu égoïste. Puis, Gyu Ho est arrivé. Et cette fois, c'était l'amour parfait. Son idéal. C'était magnifique de les voir, jusqu'au moment où ils se font rattraper par leurs vies respectives. Aussi terrible que ce soit, c'était comme si l'amour idéal avec Gyu Ho n'était pas le bon moment. C'est déchirant, mais réaliste. Combien de couples parfaits ont terminé ainsi, aussi ? Pour finir par Habibi, une sorte d'aventure et de réflexion sur lui-même. Fugace, rapide, mais qui lui a permis de poser certains mots.
L'amour, c'est compliqué. Ça fait autant de bien que de mal. Ça nous rend aussi heureux que malheureux. Pourtant, peu importe les blessures, la plupart d'entre nous cherchons ce sentiment qui nous rend uniques aux yeux d'une personne. D'ailleurs, une grande partie de sa richesse est là, ce drama parle à tout le monde, peu importe son orientation. Go Yeong est gay, ok. Je suis une hétéro, ok. Mais ce qu'il ressent, ce qu'il traverse, ce sont des expériences que j'ai également connues, parce qu'on peut tous s'identifier à ce sentiment.
Mais comment chercher ce qu'on ignore ? Au départ, Go Yeong est sûr d'avoir déjà aimé, mais est-ce vraiment le cas ? Pour moi, son premier amour, son vrai premier amour, c'est Gyu Ho. Ces deux syllabes laissées sur la lanterne. Chaque relation de Go Yeong l'a fait évoluer et grandir. Cependant, celle avec Gyu Ho était vraie, vivante et chargée d'amour.
Pour finir, j'ai souvent mentionné que le jour où nous aurons un KBL avec des épisodes d'au moins 40 minutes, alors ce sera comme un matin de Noël à chacun d'eux. Ce fut le cas.
En bref, Love in the Big City est sans aucun doute l'un des meilleurs dramas de cette année grâce à sa douceur, sa puissance et son réalisme avec un personnage central attachant et parfaitement interprété (tout comme l'ensemble de la distribution).
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