Gomme et quiproquo…
Kieta Hatsukoi est le genre de drama au pouvoir d'attraction inexplicable. À peine avais-je commencé que j'étais dans le filets, attendant la semaine suivante.
J'ai eu le sentiment de revenir aux JBL classiques. Ceux aux scénarios pas très originaux, mais avec de chouettes personnages, de bonnes ondes et une poésie propre au Japon.
Aoki (Michieda Shunsuke) est adorable en tant que lycéen maladroit. Ses expressions sont extrapolées, tout en accentuant davantage cette maladresse si caractéristique du personnage. Il a l'art et la manière de mettre les pieds dans le plat, décuplant l'attachement pour lui. Derrière ses moues, c'est un personnage qui manque d'un léger développement, mais l'acteur parvient à rester juste.
Ida (Meguro Ren) est tout le contraire d'Aoki. Charmant et de peu de mots, il semble désintéressé de tout et tout le monde, mais lorsqu'il s'attache à quelqu'un, il donne tout ce qu'il peut. Sa curiosité envers Aoki est jolie à suivre. Tout comme Aoki, son personnage manque de profondeur, mais Meguro Ren livre une bonne performance.
Hashimoto (Fukumoto Riko) et Aida (Suzuki Jin) sont des renforts qui pourraient tout aussi bien avoir leur propre histoire. Les deux acteurs ont livré de belles performances.
Derrière sa romance scolaire, Kieta Hatsukoi aborde aussi les inquiétudes et les doutes qui vont avec sa thématique. Les craintes, les questions et le regard porté par la société quant au fait d'aimer une personne du même sexe. S'il n'est pas parfait, le fait d'aborder ces questions apporte du réalisme à l'histoire, mais surtout à ses personnages.
En bref, malgré un final précipité (et légèrement décevant), Kieta Hatsukoi est un JBL adorable et sûrement l'un des plus mignons de cette année.
J'ai eu le sentiment de revenir aux JBL classiques. Ceux aux scénarios pas très originaux, mais avec de chouettes personnages, de bonnes ondes et une poésie propre au Japon.
Aoki (Michieda Shunsuke) est adorable en tant que lycéen maladroit. Ses expressions sont extrapolées, tout en accentuant davantage cette maladresse si caractéristique du personnage. Il a l'art et la manière de mettre les pieds dans le plat, décuplant l'attachement pour lui. Derrière ses moues, c'est un personnage qui manque d'un léger développement, mais l'acteur parvient à rester juste.
Ida (Meguro Ren) est tout le contraire d'Aoki. Charmant et de peu de mots, il semble désintéressé de tout et tout le monde, mais lorsqu'il s'attache à quelqu'un, il donne tout ce qu'il peut. Sa curiosité envers Aoki est jolie à suivre. Tout comme Aoki, son personnage manque de profondeur, mais Meguro Ren livre une bonne performance.
Hashimoto (Fukumoto Riko) et Aida (Suzuki Jin) sont des renforts qui pourraient tout aussi bien avoir leur propre histoire. Les deux acteurs ont livré de belles performances.
Derrière sa romance scolaire, Kieta Hatsukoi aborde aussi les inquiétudes et les doutes qui vont avec sa thématique. Les craintes, les questions et le regard porté par la société quant au fait d'aimer une personne du même sexe. S'il n'est pas parfait, le fait d'aborder ces questions apporte du réalisme à l'histoire, mais surtout à ses personnages.
En bref, malgré un final précipité (et légèrement décevant), Kieta Hatsukoi est un JBL adorable et sûrement l'un des plus mignons de cette année.
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