
Fils d'une riche famille marchande disparu à l'âge de huit ans, Hong Rang réapparaît douze ans plus tard, au grand étonnement de ses proches, et particulièrement de sa demi-sœur qui n'avait jamais perdu espoir de le retrouver. Mais cette dernière doute de l'identité de celui qui se dit son frère. (Source : SensCritique) ~~ Adapté du roman « Tangeum: Swallowing Gold » (탄금) de Jang Da Hye (장다혜). Modifier la traduction
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- Titre original: 탄금
- Aussi connu sous le nom de: Tangeum , Hong Rang , Cher Hongrang
- Réalisateur: Kim Hong Seon
- Scénariste: Kim Jin A
- Genres: Historique, Mystère, Romance, Mélodrame
Où regarder Dear Hongrang
Subscription (sub)
Distribution et équipes
- Lee Jae WookSim Hong RangRôle principal
- Jo Bo AhSim Jae IRôle principal
- Jung Ga RamSim Mu JinRôle principal
- Uhm Ji WonMin Yeon UiRôle principal
- Park Byung EunSim Yeol GukRôle principal
- Kim Jae WookPrince Han PyeongRôle principal
Critiques
Moyen
Un drama qui commence par une intrigue solide et des personnages attachants, mais aux fils des épisodes (à partir de l’épisode 5-6) l’histoire devient complètement aberrante, trop de choses inutiles, trop de longueurs, pas assez de focus sur les points importants, le fantômes des neiges, le peintre, le prince.Un triangle amoureux qui m’a doucement fait rire … qui au début ressemble plus à de l’inceste qu’autre choses…
Heureusement que l’acting est incroyable, mais honnêtement l’histoire le casse complètement, très déçu !
Et concernant la fin, je n’ai pas les mots pour l’exprimer…
Un Kdrama qui aurait pu être incroyable, mais qui reste très moyen !
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le silence.
Cher Hongrang : un poème visuel sur l’amour et la douleurIl est des histoires qui ne crient jamais, mais qui vous brisent doucement. Cher Hongrang appartient à cette catégorie rare de drames capables de bouleverser sans artifices, avec pour seules armes le silence, la retenue… et des regards qui en disent plus long que mille mots.
Situé dans un contexte historique soigneusement travaillé, Cher Hongrang suit le destin d’âmes égarées, confrontées à l’amour dans ce qu’il a de plus pur, mais aussi de plus tragique. Le récit n’est pas celui des grandes déclarations flamboyantes, mais celui d’un attachement discret, d’une tendresse fragile, d’une douleur contenue. Et c’est précisément là que le drama touche au cœur.
Les performances des acteurs sont remarquables. Ils parviennent à transmettre une palette d’émotions intenses avec une subtilité admirable. Chaque regard échangé, chaque geste hésitant devient une scène à part entière. Le lien entre les protagonistes se tisse dans les non-dits, et c’est dans ce silence que l’émotion grandit.
La réalisation, sobre et poétique, magnifie cette narration tout en finesse. La lumière douce, les plans fixes, les silences prolongés : tout est pensé pour laisser le temps à l’histoire de respirer — et au spectateur de ressentir.
Mais Cher Hongrang, ce n’est pas seulement une romance. C’est aussi une réflexion sur le devoir, la loyauté, et ce que l’on est prêt à sacrifier par amour. C’est une œuvre empreinte de mélancolie, qui interroge la place de l’individu dans une société rigide et hiérarchisée, tout en célébrant la liberté d’aimer.
À sa manière, Cher Hongrang laisse une empreinte silencieuse. Une fois l’épisode final passé, ce n’est pas tant l’intrigue que l’on retient, mais les émotions, le poids du manque, et cette sensation persistante d’avoir vécu quelque chose de profondément humain
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