Promise Cinderella (2021) poster
7.8
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Notes: 7.8/10 par 2,033 utilisateurs
# de Spectateurs: 4,831
Critiques: 17 utilisateurs
Classé #3174
Popularité #3238
Téléspectateurs 2,033

Après que son mari lui a annoncé son intention de divorcer, Katsuragi Hayame se retrouve à la rue, sans emploi et sans le sou. Elle va croiser le chemin d'un beau lycéen, plein aux as mais au sale caractère qui va lui proposer de jouer sa vie façon jeu de société. (La source : Nautiljon.com) Modifier la traduction

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  • Türkçe
  • Pays: Japan
  • Catégorie: Drama
  • Épisodes: 10
  • Diffusé: juil. 13, 2021 - sept. 14, 2021
  • Diffusé Sur: Mardi
  • Station de diffusion initiale: TBS
  • Durée: 48 min.
  • Score: 7.8 (scored by 2,033 utilisateurs)
  • Classé: #3174
  • Popularité: #3238
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Critiques

Complété
achuland
1 personnes ont trouvé cette critique utile
janv. 28, 2022
10 épisodes vus sur 10
Complété 0
Globalement 9.5
Histoire 8.0
Acting/Cast 10
Musique 9.0
Degrés de Re-visionnage 10
Cette critique peut contenir des spoilers

La parfaite histoire de Cendrillon, attachant et ultra adorable!

Il était une fois Katsuragi Hayame, une jeune femme de 27 ans au bord du désespoir. Trompée par son mari, la voilà fuyant le domicile conjugal et se retrouvant du jour au lendemain à la rue et sans un sous. S’en vient un prince, arrogant et méprisant, un jeune prince de 17 ans. Par jeu, par vengeance, par ennui, voilà notre joli prince, Kataoka Issei s’en menant notre belle en sa demeure et lui proposant de gagner sa pitance sous forme de jeu, pas très sympathique au demeurant. De fil en aiguille, le prince perdant de sa superbe se retrouve bien marri : Hélas, le voilà bel et bien amoureux de sa belle divorcée.

Voilà, un résumé qui en dit long. Un classique que l’on retrouve souvent chez les japonais. Plus par ennui, j’ai appuyé un peu par dépit sur le bouton play. 8 épisodes de pur bonheur. 8 épisodes de franche rigolade. 8 épisodes de battement insensé d’un petit coeur qui pensait avoir tout vu. 8 tout petit épisodes!!
Ce que j’ai adoré? La relation super « kawai » et ultra adorable de nos deux protagonistes!!! Sincèrement, je me suis retrouvée 30 ans en arrière (je sais, je suis vieille mais chut…) lorsque je courais dès la sonnerie de l’école afin de ne pas rater les épisodes de « Maison Ikokku » ou encore «Ranma 1/2» .

Les chamailleries d’Issei et d’Hayame ne sont pas sans rappeler ceux d’Akane et de Ranma ou encore de Kagome et d’Inuyasha. Un pur délice pour l’adolescente que je n’ai cessé d’être. A l’instar des mangas de Takahashi, la relation explosive des deux fortes têtes progresse rapidement vers un lien plus intime.
Les situations, comme le retour de l’ex-mari ou de Seigo mettent alors en évidence la force de leur sentiment qui petit à petit finissent par éclater aux yeux de tous, sauf bien sûr d’eux-même (c’est bien plus drôle ainsi). L’entourage de nos deux tourtereaux comme la sémillante grand-mère et son « plus que « majordome ou le délirant et ô combien génial Koya a ce doux parfum de cupidon tirant sa flèche à la moindre occasion, ô combien cliché mais si étrangement imprévisible et drôle, ajoutant encore plus de piment dans leur histoire. L’alchimie est incroyable entre Issei et Hayame. Chacune de leur interaction est drôle et tellement évidente à nos yeux. Les répliques fusent comme des bulles de champagne, le couple brille par une complicité intense faite de réthorique et de respect mutuel. Et contrairement à « Hajimete Koi wo Shita Hi ni Yomu Hanashi» , le baiser (le seul d’ailleurs entre nos protagonistes) arrive plus tôt. Bondissant comme une petite fille recevant une barbe à papa, à travers toute la salle à séjour et hululant à qui mieux mieux avec un chéri en délire, nous avons dû faire peur à toute notre tribu de môme.
La progression romantique d’Issei et d’Hayame est naturelle malgré leur nombreuses disputes, disputes qui s’apparentent plus à des querelles d’enfants amoureux. Point donc de frustration, nous adorons les voir se lancer des piques taquines avec toute la tendresse du monde dans les yeux. Il est difficile de ne pas les voir en tant que couple pratiquement dès le départ. Et cela bien que 10 ans les séparent.
Hayame, bien que clamant à qui mieux mieux ne voir qu’en Issei qu’un petit frère, nous délivre une complicité sans faille envers Issei, et je n’ai pas eu cette mauvaise impression de voir une relation de femme plus âgée/d’homme plus jeune comme dans
«The rational life» , où cette impression désagréable de décalage au niveau de l’âge était omniprésent.
Ici, Issei et Hayame sont dans le même délire et sur la même longueur d’onde. L’un n’hésite pas à user de stratagème foireux à l’aide d’un dé et de challenge plus que douteux et l’autre acceptant ce type de duplicité avec une facilité déconcertante. Cela aurait pu être malsain et graveleux, et pourtant, on s’amuse presqu’autant qu’eux.
Au-delà de leur relation adorable et ultra « cute », le côté sain et naturel rend cette romance addictive au plus haut point. La franchise que nos deux héros avaient l’un pour l’autre ne permettait pas au doute de s’immiscer entre eux. Cette confiance qu’ils avaient l’un pour l’autre était géniale, parler à coeur ouvert et sans tabou….Pour exemple, lorsque Hayame apprend de la part de son ex-mari qu’il s’est obligé pendant des années à manger sa cuisine bizarre sans broncher pour lui faire plaisir, j’ai adoré ce grommellement baragouiné par Issei, lorsqu’il a l’honneur de goûter un peu plus tard à la cuisine d’Hayame. Sans s’embarrasser de délicatesse, Issei ordonnant à Hayame d’arrêter de cuisiner était hilarant et en même temps touchant. C’est ainsi que je conçois une relation. Peut-être un peu souvent abrupte de la part d’Issei mais cela a le mérite de ne pas induire Hayame dans l’illusion d’un bonheur qu’elle est peut-être la seule à ressentir. Leur relation fonctionne donc en grande partie à 200% grâce à leur complicité et à leur communication franche et honnête.

L’écriture des personnages et le jeu des acteurs ont été le gros plus, ce qui a fait toute la différence, surtout lorsque le scénario ne casse pas 3 pattes à un canard.

Je commencerais par Kataoka Issei ! Mon méga gros coup de ce début 2022! Pour tout vous avouer, lorsque j’étais adolescente, j’en pinçais pour un personnage de manga, de mon auteur favori, Rumiko Takahashi : Ranma. Ici, Issei me rappelle Ranma, version live. Bourru avec un coeur immense.
Toujours à lancer des piques, arrogant, parfois méprisant, et avare en compliment (je dois être maso, en fait…), le personnage n’en est que plus attachant durant ses moments maladroits, ses moments de bravoure (lorsqu’il accoure sans hésiter au secours d’Hayame face à la furie de la VIP), ses moments enfantins (lorsque dans les escaliers, il fuit le film d’horreur à la télé, hilarant!), ses moments de jalousie, d’incertitude…
L’évolution de ce personnage se fait progressivement et naturellement. Nous le voyons grandir et mûrir, essayer tant bien que mal à ne plus être l’adolescent à problème et devenir l’adulte sur qui Hayame pourra se reposer si besoin. Son comportement vis à vis de ses amis et ancien « jouet » témoigne de sa maturité. J’ai beaucoup apprécié la surprenante amitié et loyauté de Kensuke, Momoka, Chaisato et Kazuki. Surprenant, car tout pointait vers un « je traine avec toi car tu es riche » et j’ai été agréablement surprise d’apprendre que le paraitre ici ne correspondait pas à la profondeur réel de leur sentiment. Une fois révélé, on prend facilement goût à leur amitié, bien que peu présente à l’écran.
Le jeu d’interprétation de Maeda Gordon m’a grandement impressionnée. Peu séduite au départ, j’ai un peu de mal avec les acteurs et actrices japonais, j’ai très vite été séduite, sans vraiment m’en rendre compte. Sa voix grave et sa prestance font oublier qu’il est un lycéen de 17 ans. Rappelons, que l’acteur avait 20/21 ans au moment du tournage ce qui ne l’éloigne pas trop de l’âge d’Issei.
Son jeu est naturel, ses expressions mi-figue mi-raisin envers Hayame ou ses répliques arrogantes m’ont souvent fait sourire voire rire. D’ailleurs, sa façon d’interpeller sa grand-mère « old crazy woman » m’a fortement rappelée celle que Ranma avait envers son père .

Hayame est définitivement le type d’héroïne que je recherche. Non seulement, elle est jolie à croquer mais en plus de sa douceur et de sa joie de vivre, elle reste une femme de tête qui s’en tient rigoureusement à ses principes! Quel plaisir de la voir relever la tête quoiqu’il arrive et d’avancer avec ce mélange de fierté et d’humilité qui très vite vont la caractériser.
Bien qu’Hayame vive « au crochet » d’Issei et de sa grand-mère, Hayame ne s’en plaint pas, ni ne s’en offusque. Elle préfère au contraire montrer sa reconnaissance en travaillant, ce qui je l’avoue me semblait fort logique. Pas une seule fois, elle ne se montrera méprisante envers Issei pour sa richesse, sans pour autant vouloir en profiter ou le rejeter. L’argent n’est donc pas un tabou pour elle. Hayama sait qu’elle est dans une situation délicate et ne refuse aucunement les mains tendues, bien au contraire. Ce qui évite les conflits classiques pauvre/riche qui sont parfois étouffants au point de me faire fuir.
Sa joie de vivre et sa volonté de vouloir bien faire les choses la rendent extrêmement attachante. Assumant ses parts de responsabilités, elle ne rejette pas la faute sur les tiers et préfère se remettre en question. Ce qui n’est pas à la portée de tout le monde. C’est donc un personnage féminin qui incarne une féminité attendrissante et douce combinée à une force de caractère (et physique) exceptionnelle (la gifle du premier épisode restera inoubliable!). Ses sentiments envers Issei sont adorables. La complicité qu’elle partage avec lui est quasi immédiate, bien que tumultueuse. Elle est à l’aise à 100% avec lui, se confiant sans aucune hésitation sur ses pensées, notamment lorsqu’elle parle de son divorce. Je dis merci mille fois au scénariste, car il n’y a rien de plus frustrant que des quiproquos dû à un manque de communication !

Je pense qu’il est, bizarrement, plus difficile d’écrire des personnages secondaires. Trop souvent, ces personnages ne sont que des objets parsemant le décor et permettant aux personnages de vivre leur aventures pleinement. Ils sont donc basiques et peu étoffés. Ce qui est dommage. Ici, les personnages secondaires ne sont pas du tout des outils mal écrits. Ils vivent pleinement leur vie comme nous pouvons le voir avec Kurose Koya et Sakamura Mahiro, les alliés de nos tourtereaux dans le ryokan. Kurose Koya maniant l’ironie et les remarques impertinentes est le playboy toujours prêt à s’imposer là où il n’est pas invité. Sa bromance avec Issei est subtile et pleine de drôlerie. Nous avons pensé très fort que ce personnage mériterait un drama à lui seul. Je ne vous raconte pas mon cri de victoire lorsque j’ai su que « Cinderella Complex » mettait justement en scène Kurose Koya et Sakamura Mahiro. Quelques petits détails amusants entre ces deux personnages nous avaient mis la puce à l’oreille et c’est une très bonne nouvelle de savoir qu’ils auront leur propre drama.
Mes deux personnages secondaires favoris ont été Kataoka Etsuko, la grand-mère, et Yoshitora Eiji , le majordome! L’essence de ce couple est la « kawai attitude ». La pertinence des remarques de la grand-mère et l’attitude obséquieuse du majordome ont réellement apporté un très grand plus. Le spectateur comprend rapidement que Kataoka Etsuko a décidé de jouer à cupidon, sans aucune subtilité d’ailleurs, rendant les situations embarrassantes et sans aucune ambiguïté aux protagonistes, pour notre bonheur.

Les autres personnages secondaires comme Kataoka Seigo ou Kagami Akira ne sont pas mauvais mais je pense ici qu’ils sont peut-être les moins bien écrits. Kataoka Seigo hérite du rôle du frère/rival malheureux et se révèle un chouilla ennuyeux et peut-être un peu trop passif. Tant mieux me dira-t-on, cela m’évite le syndrome du second lead. Mais c’est dommage car n’étant pas de poids face à Issei, pas une seule fois je n’ai senti un danger quelconque pour le couple. Vous me direz, Hayame ne le cherchera pas une seule fois, gardant toujours une distance bien délimitée.
Kagami Akira était loin d’être inintéressante. Souvent, l’antagoniste qui est bien écrit, intrigue et procure des émotions intenses comme la haine. Pour tout dire, Akira ne nous donne pas envie de la détester ou d’avoir de la compassion. Pour comprendre, il suffit de penser à Kim Min Jung dans « The Devil Judge » qui nous avait délivré une superbe interprétation. C’est donc surement la faiblesse de ce drama, ce qui reste minime.

En résumé, ce drama, qui peut ne pas plaire à tout le monde, trouvera surement une petite place auprès des nostalgiques de manga ou d’animé des années 80. Ou toi le lecteur passant par hasard.

Drôle et stéréotypé, le drama pourtant a su finement jouer la carte d’une romance pétillante entre deux personnages adorables et des personnages secondaires loufoques mais extrêmement attachants. Si cela n’est pas un masterpiece, il n’en reste pas moins qu’à mes yeux, il a peu de défauts. M’ayant fait rêver et rire, le but de ce drama a été pleinement atteint.

Le drama est basé sur le manga, publié en 2018, du même nom et dont l’auteur, Tachibana Oreco, n’a écrit pour l’instant qu’une seule oeuvre. Il m’est impossible de passer à côté de ce manga maintenant. Je reviendrais sûrement pour venir ajouter ma critique du manga, et peut-être un manga versus drama.

Si vous n’avez pas d’apriori sur une romance de noona avec un homme plus jeune (voire mineur).
Si un drama old school ne vous fait pas peur.
Si des BGM obsolètes ne vous rebute pas, allez-y le coeur haut et fort.
Vous ne le regretterez pas.

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Complété
dreamingsnowflake Finger Heart Award1
39 personnes ont trouvé cette critique utile
sept. 14, 2021
10 épisodes vus sur 10
Complété 0
Globalement 10
Histoire 10
Acting/Cast 10
Musique 10
Degrés de Re-visionnage 10
Cette critique peut contenir des spoilers

Not your typical Cinderella story and an unforgettable romance!

One of the bestest and loveliest love stories imaginable. A drama which not only deserves that rare 10/10 rating but makes you wish you could give it 1,000,000/10 because of how inspired, satisfying and rewarding it’s been.

Promise Cinderella reminds me of the 2000s classic jdrama rom-coms (which is a good thing) aka the way they used to be until they contracted some sort of a narrative plague and basically died out, with few exceptions. Tightly plotted, well-written, brilliantly acted and with an OTP that oozes chemistry, it’s a very thoughtfully and sensitively made adaptation of the original manga (even though, I only read the first 18 chapter on Comikey so far). The drama took the Cinderella tropes and spun them on their head, breathing a new life into them.

All that is perfectly accompanied by a sublime soundtrack composed by Yamada Yutaka who delivers perhaps a first full-fledged bona fide jdrama OST with several distinct songs, not merely the insert and closing themes. Each song is written in such a way that the lyrics perfectly describe each character’s feelings and storylines.

Fumi Nikaido and her Hayame have been all sorts of awesome – mature, strong and plucky but still vulnerable and so real and relatable - and not the infantilized caricature of an adult female you often see in Asian dramas nowadays.

Maeda Gordon has been such a revelation - he does an amazing job portraying all the various facets of Issei, this boy-man on his journey to become an adult. I love how gradually Issei turns softer and more vulnerable because Hayame and his feelings for her make him shed his bravado to reveal all the insecurity, vulnerability, and tenderness he has been trying to hide. There is this amazing dichotomy of showing a teenager with what is basically a body of a grown-up man but personality that no longer belongs to a boy but neither to a man yet. It’s a great choice and casting. He has such a wide range of facial expressions and has the natural ability to act with his whole body, giving Issei so many adorable quirks, that very few actors possess, especially ones so young.

Seigo has turned out to be truly great second male lead. You can root for him and he poses genuine competition for Issei. If this were a kdrama there would be no way in hell he wouldn’t get the girl if only for the sole reason they share a past and are each other’s first love. I love how Hayame and Seigo’s relationship is actually properly developed, not some childhood sweethearts trope or them meeting a couple of times without getting to know each other. Iwata Takanori does such an incredible job portraying Seigo and conveying his conflict. I remember him from Dear Sister and stealing the whole show with Ishihara Satomi so it’s great to see him in a well-made jdrama once again that gives him a good script to work with.

Even the supporting characters are unforgettable and an absolute joy to watch, each one having a distinct personality – Issei’s cool matchmaking grandma and adoring Yoshitora, who are always there to support him, or Koya, Issei’s new BBF with who he shares epic bromance,… - without stealing the thunder from the main characters with multiple irrelevant side stories, which is something so many Asian dramas utterly fail at these days.

Even the ending is a perfect farewell to a perfect love story, completely reversing the Cinderella tale…

The fairy tale ends just like the love story for the age it is, with Issei’s proposal and promise to his Cinderella (hence the drama’s name) to live with her happily ever after - after she saved him from the evil witch - and the shoes to make up for the ones he threw away in episode 1, but, hilariously, they don't fit (turning another Cinderella trope on its head) and, just like his body and love for her, pretty much swallow her whole.

Their future lies ahead of them with one part of their journey ending where they have learned that reality and real love are much better than any games and dreams.

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Renseignements

  • Drama: Promise Cinderella
  • Pays: Japon
  • Épisodes: 10
  • Diffusé: juil. 13, 2021 - sept. 14, 2021
  • Diffusé On: Mardi
  • Station de diffusion initiale: TBS
  • Durée: 48 min.
  • Classification du contenu: Pas encore classifié

Statistiques

  • Score: 7.8 (marqué par 2,033 utilisateurs)
  • Classé: #3174
  • Popularité: #3238
  • Téléspectateurs: 4,831

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