Tampopo (1985) poster
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Notes: 7.7/10 par 374 utilisateurs
# de Spectateurs: 727
Critiques: 4 utilisateurs
Classé #4525
Popularité #9796
Téléspectateurs 374

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  • Pays: Japan
  • Catégorie: Movie
  • Date de sortie: nov. 23, 1985
  • Durée: 1 hr. 54 min.
  • Score: 7.7 (scored by 374 utilisateurs)
  • Classé: #4525
  • Popularité: #9796
  • Classification du contenu: Not Yet Rated

Distribution et équipes

Critiques

Complété
clinchamps
0 personnes ont trouvé cette critique utile
janv. 29, 2022
Complété 0
Globalement 8.0
Histoire 8.0
Acting/Cast 9.0
Musique 7.0
Degrés de Re-visionnage 7.0

La cuisine est ici le chemin de la vie, la métaphore de l'humanité...

Tampopo (Pissenlit en japonais) tient une petite gargotte de ramen. Elle est veuve avec un fils qui se fait malmener par ses copains de l’école primaire. Un jour un camion citerne s’arrête et le chauffeur et son co-équipier entre manger. Comme les deux hommes trouvent les ramen mauvaises et qu’ils ont l’air de s’y connaître (surtout Goro le chauffeur au look de cow-boy), elle leur demande de lui apprendre.

Cet apprentissage va donner lieu à plusieurs digressions toutes aussi savoureuses les unes que les autres, car pour les Japonais, la Cuisine est un art à part entière, comme la Poterie ou le Sabre et ce film est l’essence même du Japon.
La narrations est tout sauf linéaire : on se promène dans ce film en croisant des personnages différents plus ou moins reliés à l’histoire, ou même pas du tout comme le yakuza en costume blanc et sa maîtresse. La cuisine en tant qu’art où tous les sens sont mis à contribution est la trame même du film(le yakuza et sa maîtresse nous prouvent que les plaisir du palais sont étroitement liés à d’autres plaisirs ! )
On y croise tous les milieux depuis des clodos jusqu’à un riche bourgeois et le lien commun est toujours l’art culinaire. Petit à petit la gargotte de Tampopo va devenir un petit restaurant où les gens font la queue, car tout est lié : l’aspect de la cuisine, l’allure de la cuisinière rendent la cuisine encore meilleure ! Et comme ce film est japonais, bien sûr la fin est parfaite, positive, (Ah ! la scène de l’apprentissage de la façon de manger les spaghettis sans bruit, ou celle où les clochards chantent…) heureuse, mais avec une légère et douce mélancolie, quand le camion-citerne s’éloigne pour la dernière fois sur son autoroute !

Ce film est une potion magique, une tranche de pur bonheur qui devrait être remboursée par la sécurité sociale. Impossible de ne pas le finir le sourire aux lèvres avec l’envie irrépressible de se mettre au fourneau !!

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The Butterfly
4 personnes ont trouvé cette critique utile
févr. 7, 2024
Complété 0
Globalement 8.0
Histoire 8.0
Acting/Cast 7.5
Musique 7.5
Degrés de Re-visionnage 8.5

"You helped me find my ladder"

From birth to death, we all have the need for food in common. Tampopo put a weird twist on the food genre by combining it with a Western, with the emphasis on weird. The film’s main course was the search for the perfect bowl of ramen. The side dishes ran the gamut from heartwarming to sexual food fetishes. When the character in the opening scene breaks the fourth wall, hold onto your popcorn because you are in for a wild ride.

On a dark and stormy night, two truck drivers ride into town looking for a place to eat. Goro wears a cowboy hat and his trusty young sidekick loves ramen so they stop at small shop. Tampopo is a widow with no experience cooking ramen and it showed. Goro and Gun give her advice on her ramen and before long are helping her to improve. Team Ramen begins to expand to include a homeless ob/gyn, a chauffeur, and a drunken contractor. And this is the most normal story in the film.

Just when you think it couldn’t get any weirder, director Itami Juzo says, “Hold my Heineken.” Like tag team wrestling, a passerby will be tagged in and their story of food begins. Professional and international dinner etiquette, con artists, fetishes, first times, and last times all pop in and out with circle wipes. Tampopo delves into the connections we have with food and dining. How much do we savor and pay attention to what we eat? How memories and food are tied together in a family. There were some scenes with the 18+ food fetish couple that I would rather not have seen but for the most part the vignettes were PG, kooky, and entertaining. When the last breaths of a character were for a wild boar intestines recipe you know the director is hard core about food. While I found myself invested in one of the romances, the true love of the film was for food.

Tampopo will not be for everyone, nor will all the stories in it. I enjoyed Team Ramen as they explored the world of ramen, experimenting, failing, improving, and building a comradery. Some of the vignettes were more humorous than others, but overall, I found it quirky and entertaining. As someone who grew up watching westerns with my dad, I fully expected one character to shout out, “Come back Shane!” at the end of the film. If you are in the mood for something different, grab a snack, and settle in for a film dedicated to food in the many ways we celebrate it.

7 February 2024

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Renseignements

  • Movie: Tampopo
  • Pays: Japon
  • Date de sortie: nov. 23, 1985
  • Durée: 1 hr. 54 min.
  • Classification du contenu: Pas encore classifié

Statistiques

  • Score: 7.7 (marqué par 374 utilisateurs)
  • Classé: #4525
  • Popularité: #9796
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