Hanbun, Aoi (2018) poster
7.9
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Notes: 7.9/10 par 437 utilisateurs
# de Spectateurs: 1,963
Critiques: 6 utilisateurs
Classé #2673
Popularité #99999
Téléspectateurs 437

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  • Pays: Japan
  • Catégorie: Drama
  • Épisodes: 156
  • Diffusé: avril 2, 2018 - sept. 29, 2018
  • Diffusé Sur: Lundi, Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi
  • Station de diffusion initiale: NHK
  • Durée: 15 min.
  • Score: 7.9 (scored by 437 utilisateurs)
  • Classé: #2673
  • Popularité: #99999
  • Classification du contenu: 13+ - Teens 13 or older

Distribution et équipes

Critiques

Complété
Kenseiden
0 personnes ont trouvé cette critique utile
mars 2, 2021
156 épisodes vus sur 156
Complété 0
Globalement 9.5
Histoire 9.0
Acting/Cast 9.5
Musique 9.5
Degrés de Re-visionnage 7.5

La meilleure moité

/!\ Omoïde Review/!\

Ma première critique basée uniquement sur des souvenirs de visionnage sera Hanbun Aoï, vu il y a 2 ans de cela, mais qui me parait totalement indispensable à voir encore aujourd'hui pour tout fan de Japon qui se respecte. 98ième Asadora de la NHK, sortie en 2018 et s'étalant comme presque tous les autres sur une durée de diffusion semestriel, il m'a marqué pour différentes bonnes raisons :

Déjà, c'était mon premier Asadora et il m'a fait tomber amoureux du concept de suivre une famille ou un personnage sur une bonne partie de sa vie. 15 min par jour et cela pendant 6 mois. Grace au décalage horaire, la diffusion à 7h00 du matin au Japon s'est transformée pour moi en messe de minuit, chaque soir en France, pendant cette longue période. Ma petite tisane avant de m'endormir en quelque sorte. Effectivement, 156 épisodes peuvent parfois tirer en longueur et faire somnoler. Mais Hanbun aoi fait parti des meilleurs et on a moins l'occasion de s'ennuyer que d'autre Asadora malgré tout.

Venir à suivre un Asadora, n'est pas qu'une question de temps. Il faut accrocher au sujet et aux personnages. On arrive donc au deux autres raisons qui mon poussé à suivre aussi longtemps la série. L'actrice principale, Nagano Mei que j'ai toujours considéré comme la Sophie Marceau japonaise, porte la série sur ses frêles épaules. Passant de l'adolescence à sa jeune vie d'adulte, puis à la vie désabusée d'une trentenaire jusqu'à sa quarantaine, d'après mes souvenirs. Souvent dans ses séries, certaines périodes de la vie peuvent paraître fausses tant le physique, le maquillage ou la voix ne s'adaptent pas à l'age. Mais Mei, grâce à ses excellents talents de comédiennes, réussit à nous faire croire qu'elle à 40 ans à la fin de la série.

Le dernier point qui m'a fait accrocher et qui était une véritable bonne surprise pour l'otak que je suis, c'est le sujet traité en profondeur sur un très grand nombre d'épisodes. La vie d'un mangaka dans les années 80-90, l'age d'or s'il en est. Toujours très réaliste et bien documenté comme seuls les Japonais savent traiter un thème dans une série, on apprécie de voir comment Susume (Nagano Mei) est prise sous l'aile de Akikaze sensei, son mentor sur le long chemin de la sérialisation.

Si vous n'êtes pas demandeur de détail de la vie de mangaka vous apprécierez tout de même de suivre le quotidien de nombreux japonais de l'ère Showa puis Heisei, de surcroît débutant durant l'exposition d'Osaka. Quitter sa campagne pour la ville, les petits jobs puis réaliser son rêve, les désenchantements de la vie d'adulte, les remises en questions, le retour vers les vraies valeurs, après les lumières de la ville, pour terminer la série sur le séisme de 2010 et ses conséquences dramatiques qui vous toucheront à coup sûr.

Une galerie de personnages inspirés de la vie réelle (mangaka, réalisateur, inventeur, etc ...) et des acteurs de premier rang même pour les guests, comme toujours dans les Asadoras, rajoute encorede l'excellence à l'excellence.

La première partie jouée par la petite Yazaki Yusa, retraçant l'enfance de Susume et son handicap, reste une des plus touchantes, mais Mei par son regard et sa moue inimitables, arrive également à nous fendre le coeur régulièrement. On ne passera quand même pas son temps à pleurer sur le sort du couple impossible Susume/Ritsu, car l'écriture joue régulièrement entre humour et sensibilité. Et il faut bien dire que Mei est quand même très forte pour nous faire rire aussi.

La BO est excellente au point ou j'ai cherché longtemps à me la procurer et je me la réécoute encore souvent 2 ans après.

Pour conclure, si vous avez vécu votre jeunesse de geek dans les années 70-80-90, si le Japon de ses années et pas seulement dans les mangas vous a passionné, si vous êtes toujours amoureux de votre copain d'enfance, ou si vous aimez dessiner sur les vitres (générique d'enfer, comme souvent dans les Asadoras) cette série est pour vous. Et comme c'est japonais on sait que nos deux héros ne finiront pas forcément ensembles. Le suspense reste donc entier jusqu'à la fin, contrairement à Aozora, où je peine encore à regarder les 30 derniers épisodes et pourtant j'adore Hirose Suzu et l'animation. Parfois la magie disparait dans un ciel seulement à moitié bleu.

Omoïde Review: critique basée uniquement sur des vieux souvenirs, car plusieurs mois, voir plusieurs années se sont écoulés depuis mon dernier visionnage de la série. Désolé, donc pour les éventuelles erreurs ou oublis. N'hésitez pas à me corriger.

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Complété
Mertseger
13 personnes ont trouvé cette critique utile
mars 25, 2020
156 épisodes vus sur 156
Complété 1
Globalement 6.5
Histoire 5.0
Acting/Cast 8.0
Musique 6.0
Degrés de Re-visionnage 4.5
This review is going to be more negative than I expect most viewer's would, and so I do recommend reading the comment thread for this show as well for contrasting opinions. I do not, by any means, think this series is particularly bad, but I do believe that is not nearly as good as the half-a-dozen other asadoras I have seen.

Hanbun, Aoi was the summer asadora in 2018, and tells the story of Suzume from birth through the age of 40. As a typical NHK asadora the production, cast and direction are all of the usual high quality. However, the show is an exemplar of bad top-down writing in which certain check-points have to be hit for the protagonist in the desired narrative, and as a result there are some unbelievably stupid plot points along the way. I think the series is meant to be a fabulous tale of a young woman overcoming some personal adversities to find the love and happiness that she was fated to find. The title "Half Blue" is meant to be interpreted as a "the glass is half-full" kind of optimism in the face of challenges, but, ultimately, the story pretty much continuously beats down the protagonist, ignores any of her achievements and acquisition of skills along the way, and reaches a markedly tepid finale (The marginally interesting thing they were working on goes into production and the preordained OTP finally hug. Yay?)

The first third of the story is reasonably interesting. Suzume loses the hearing in her left ear at 8 from an otherwise asymptomatic cases of the mumps. She is supported by her family and friends and adapts to her disability. Suzume is not particularly bright, but does have some talent at drawing and illustration and so she decides to pursue a dream of becoming a mangaka. She becomes one of three proteges of a very successful mangaka, and the characters throughout this section and the challenges they face as artists are all pretty interesting and fun.

The brief middle section middle section which is meant to transition the character from a working mangaka to a single mom is pretty much utter tripe. Events which normally would be signs of success are interpreted as disasters. Plot threads about finances are brought up and then blatantly ignored over a couple of large time jumps, and the marriage ends pretty much as it began: because the writer says so, Nothing in this section makes much sense.

The last half of the series is focused on Suzume becoming a maker where you might expect the skills she developed as a mangaka to come in handy and help her thrive. But, no. The story pretty much continues to beat her down, and we are left with a very mild will-they/won't-they plot that lurches over an arbitrary finish line slightly beyond the Tohoku earthquake.

The cast is good, however, and Nagano Mei capably carries the show, such as it is. The character cries fairly frequently and the actress seems to get there effortlessly. Suzume is a little blunt and a little oblivious, and Nagano's charm makes the character quite likable. Like most asadora there is a large ensemble cast surrounding her with an interesting range of characters with their own dreams and aspirations.

Top down writing is not necessarily bad. Sakamoto Yuji's 2016 Love That Makes You Cry (https://mydramalist.com/16024-love-that-makes-you-cry) covers much the same territory, planting the Tohoku quake in the exact middle of the series and ending on the OTP's first kiss. But even then, it's not his best work, and comes off as more of a writer's exercise than one of his more organic tales. In contrast, the blatant structuring of the story makes Hanbun, Aoi even less interesting because the predictable ending is predictable and the machinations to get the characters where the outline put them frequently seem arbitrary and contrived.

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Renseignements

  • Drama: Hanbun, Aoi
  • Pays: Japon
  • Épisodes: 156
  • Diffusé: avril 2, 2018 - sept. 29, 2018
  • Diffusé On: Lundi, Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi
  • Station de diffusion initiale: NHK
  • Durée: 15 min.
  • Classification du contenu: 13+ - Adolescents de 13 ans ou plus

Statistiques

  • Score: 7.9 (marqué par 437 utilisateurs)
  • Classé: #2673
  • Popularité: #99999
  • Téléspectateurs: 1,963

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